Écrit par : Samael Aun Weor   Catégorie : Enseignements Cosmiques d’un Lama

Le thymus est une glande à sécrétion interne très importante, et nous devons l’étudier profondément. Les hommes de science savent bien que ladite glande est située en dessous de la thyroïde, dans le médiastin antérieur (derrière les os supérieurs de la poitrine).

N’importe quel biologiste sait, pour l’avoir observé et expérimenté directement, que le thymus normalement consiste en deux lobes longitudinaux unis à travers un plan central. La construction de cette glande est merveilleuse, formidable ; chaque lobe est extraordinairement formé par des divisions encore plus petites, appelées lobules. Il est ostensible que n’importe quel scientifique peut comprendre que chacun des petits lobes comporte une partie externe ou écorce, et une partie centrale ou moelle. Le thymus de l’enfant est relativement grand, mais il est facile de vérifier très clairement qu’au cours de la dernière partie de l’enfance, cette glande diminue graduellement en relation avec le poids du corps.

La biologie enseigne que le thymus évolue chez les enfants de manière merveilleuse, jusqu’à acquérir un poids spécifique de 25 à 40 grammes. Les endocrinologues n’ignorent pas que cette glande commence ses processus involutifs entre onze et quatorze ans, en général. Cette régression est très lente et dure toute la vie.

Un auteur savant, dont je ne mentionnerai pas le nom, dit textuellement ce qui suit : « Nous n’en savons pas encore assez au sujet de la glande thymus, mais elle semble être celle qui domine la croissance de l’enfant, avant la puberté. Elle inhibe l’activité des testicules et des ovaires. La castration provoque la croissance persistante de la glande thymus. L’extraction du thymus ou son inhibition par les rayons X active le développement des gonades ».

L’action continue du thymus, après la puberté, est la cause de particularités dans l’expression sexuelle. Des pratiques dégénérées, répulsives, apparaissent invariablement chez les personnes en lesquelles prédomine la fonction du thymus. Le thymus empêche la différenciation et retient la transformation vers une expression sexuelle positive, qu’il s’agisse d’hommes ou de femmes. Si on alimente des têtards de substance thymus, on empêche leur développement et la différenciation en grenouille mâle ou femelle. Les personnes chez lesquelles prédomine la fonction thymus deviennent homosexuelles.

Le mâle ne parvient pas à être entièrement mâle, et comme il y a tellement encore en lui quelque chose de potentiellement féminin, il se plaît dans la société du mâle plus qu’en celle de la femelle. La femelle sera encore potentiellement mâle et jouira donc plus de la compagnie de la femelle.

Des multitudes de dégénérés et criminels sont, principalement, des personnes chez lesquelles prédomine l’action du thymus. Le thymus semble être le constructeur du corps de la créature, fournissant nombre des éléments nécessaires à sa structure. Le thymus commence à retenir son action au cours de la puberté et, est supposé être en conséquence, le grand propulseur de la croissance infantile.

On a retardé le processus de calcification des animaux auxquels on a extrait la glande thymus. Il paraît que le thymus domine le système lymphatique.

Les infrasexuels dégénérés, homosexuels, lesbiennes, chez qui prédomine, lamentablement, l’action du thymus, sont le résultat fatal de la semence dégénérée. Il est ostensible que la semence dégénérée ne sert en rien pour l’auto-réalisation intime de l’Etre. Si le germe ne meurt pas, la plante ne naît pas. Il est évident que d’une semence normale, seulement, peut naître l’Homme Réel et Véritable.

L’homosexualité, le lesbianisme, accusent, indiquent, signalent, un processus involutif, régressif, descendant. Il s’avère clair, manifeste et pathétique, qu’aucune légitime école de régénération n’admettrait jamais, en son sein, des semences dégénérées.

Ce chapitre est tiré des Enseignements Cosmiques d’un Lama (1970) de Samael Aun Weor.