Écrit par : Gnostic Instructor   Catégorie : Gnose du Buddha Dharma

Poursuivant notre conférence sur Les Trois Joyaux, observons le mantra Om Tat Sat. En nous concentrant sur chacun de ces trois mots, nous constatons que Tat représente ésotériquement l’Absolu, ce que nous appelons l’Ain אין ou le néant.

Ce « Ain אין ou néant » est en réalité « rien » ; c’est-à-dire rien en rapport avec la matière. Cela n’a rien à voir avec l’énergie ; c’est autre chose d’inconnaissable. C’est pourquoi nous appelons l’Absolu, la Séité Inconnaissable, qui n’est pas une divinité. La Séité est quelque chose d’inconnaissable, l’Ain אין ou l’Espace Abstrait Absolu. Cette Séité, cette intelligence, est Sat en Sanskrit.

Ce mantra Om Tat Sat est celui que nous prononçons toujours afin d’apporter les connaissances qui y sont liées. Évidemment, le mantra Om ou Aum lui-même est un mantra très ancien, très connu en Sanskrit. Le mot Sanskrit Tat est à l’origine du mot Anglais « That », qui lui-même signifie « quelque chose d’autre ».

Dans le Bouddhisme, il existe un terme, Tathāgatagarbha, qui est un mot très courant parmi les Bouddhistes. Cela signifie : « Celui qui est sorti de ce qui est tel, du vide ».

Dans cette conférence, nous allons expliquer qui est ce « celui qui est sorti du néant ».

Observons d’abord l’Arbre de Vie, qui explique en détail tous les différents aspects de la lumière de la Kabbale.

Il y a beaucoup de Bouddhisme dans les évangiles de Jésus de Nazareth ; il y a des similitudes lorsque l’on lit les évangiles de Bouddha ou l’évangile de Krishna avec celui du Christianisme. Les principales doctrines écrites dans les évangiles et dans l’Ancien Testament de la Bible sont basées sur l’Arbre de Vie, la Kabbale. Nous trouvons précisément ce mot Ain אין ou rien, qui est le premier aspect de l’Espace Abstrait Absolu, appelé en Hébreu Ain. Ain אין signifie « rien », ce qui est exactement le contraire du mot Ani אני, qui en Hébreu signifie « moi, je ».

Ainsi, lorsque nous parlons du soi, Ani אני, cela signifie exactement le contraire de l’Ain אין, ce qui n’est pas.

Quand nous disons le néant, nous devons comprendre que c’est quelque chose, pas que ce n’est absolument rien. Je le répète, rien ne veut dire rien en rapport avec la matière, rien en rapport avec l’énergie. C’est quelque chose d’autre qui est inconnaissable et qui n’est connaissable que par les Paramarthasatyas. Ce mot Paramarthasatya signifie « conscience absolue de cela ».

Nous avons déclaré dans d’autres conférences que Jésus de Nazareth, dont le vrai nom est Aberamentho, est un Paramarthasatya, un être qui a conscience de cet Ain אין ou néant.

Cependant, même lui, connaissant l’Ain אין ou le néant ou en ayant conscience de cela, il ne peut pas nous l’expliquer avec des mots, ni à aucun être illuminé dans l’univers, car pour expliquer, il doit utiliser des mots, des termes, des symboles, des exemples de cet univers et ce faisant, on manifeste ce qui n’est pas manifeste ; on ne peut pas expliquer ce qui est inexplicable avec ce qui est explicable.

Cela reste donc inconnaissable pour ce côté de l’univers. Notre objectif est de retourner dans Tat et c’est précisément de là que vient le mot Tathagatagarbha, qui est toujours lié au Bouddha.

Nous devons préciser que dans le Gnosticisme, nous appelons Séité ce qui est au-delà de l’univers dans l’Espace Abstrait Absolu, l’Adi-Bouddha.

L’Adi-Bouddha est l’endroit d’où émerge le Bouddha.

L’Adi-Bouddha est la lumière abstraite et incréée absolue ; c’est la lumière sombre, en termes ésotériques. De cet absolu abstrait, l’Adi-Bouddha, émerge la lumière.

La lumière est la première émanation de cet espace abstrait, et c’est quelque chose de très important à comprendre et à saisir. Tout ce qui existe dans cet univers, en dernière synthèse, en ces jours, est lumière que nous pouvons appeler énergie. Des faisceaux de lumière émergent de l’absolu abstrait et se manifestent dans l’univers sous forme d’unités cosmiques. Ces unités cosmiques dont nous parlons ici sont ce que nous appelons, en utilisant des mots Grecs, la Monade. Ce mot Monade en Grec signifie « unité ».

Au plus profond de nous-mêmes, ou de notre propre conscience, nous avons notre propre rayon particulier. Ce rayon est ce que nous appelons Glorian. En effet, c’est le mot que nous utilisons pour désigner notre maison d’édition.

« Le Glorian est le rayon qui « sonne Sa cloche » lorsqu’il entre dans le monde physique. Le Glorian est la Loi et la racine incognito de l’être humain. Le Glorian est l’Être de l’Être. Le Glorian est la Loi en nous. » – Samael Aun Weor

Ce Glorian émerge de l’Adi-Bouddha et de l’intérieur de lui se trouvent les trois forces primaires qui sont toujours symbolisées dans le premier triangle de l’Arbre de Vie.

Si nous imaginons ce faisceau de lumière qui émerge de l’inconnaissable, nous trouverons alors un cercle.

Au milieu de ce cercle se trouve le triangle qui sera là. Le point même de cette lumière, ce faisceau de lumière qui émerge de l’Espace Abstrait Absolu. Le cercle est cette lumière qui porte en son sein les trois forces primaires, qui forment ensemble les quatre lettres merveilleuses, qui en Hébreu sont appelées l’éternelle : Iod-Hei-Vav-Hei יהוה, le Tetragrammaton.

Ce Tetragrammaton symbolise ces quatre aspects Iod-Hei-Vav-Hei יהוה : le faisceau de lumière plus les trois aspects qu’il contient.

Ce faisceau de lumière, le Glorian, émerge dans l’univers afin d’acquérir la conscience de lui-même. Pour y parvenir, ce Rayon a besoin d’aide ; il a besoin de quelqu’un dans l’univers pour enseigner à ce rayon de quoi il est capable, et c’est pourquoi nous trouvons dans l’univers ces merveilleuses flammes de lumière qui scintillent dans l’univers que nous appelons Cosmo-Créateurs.

Ces individus, qui sont également des unités de lumière, ont développé leurs capacités, ils sont donc capables d’assister n’importe quel rayon émergeant de l’espace abstrait. Nous dirons que ces feux absorbent ces rayons de lumière dans leur sein, afin de les assister. A ce sujet, il faut comprendre la loi de l’Heptaparaparshinockh, la loi du 7. C’est la loi qui organise ces faisceaux de lumière, afin de les féconder. Au moment où ces rayons sont absorbés au sein de ces feux, ces Cosmo-Créateurs, ils sont fécondés. Ils imprègnent chaque faisceau d’une étincelle de leur propre lumière. Cette étincelle de lumière est ce que nous appelons le Bouddha, l’Intime, l’Esprit, la Monade individuelle qui aidera ce rayon de lumière à acquérir la conscience.

Ces feux deviennent leurs propres pères Cosmiques.

C’est ainsi que nous comprenons comment nous sommes associés à l’univers. Même si nous avons notre propre rayon particulier qui a émergé de cet absolu, avec les trois forces primaires, pour créer et nous développer, nous avons besoin de cette étincelle particulière que ce feu nous a donnée afin de connaître nos capacités.

C’est ainsi que nous comprenons comment nous sommes liés à certaines forces cosmiques d’en haut et comment elles, petit à petit, nous engendrent avec leur connaissance et leur place au sein de notre propre individualité particulière ou illuminent certains attributs dont nous avons besoin pour la développer et revenir victorieux dans le même Absolu, avec la conscience de nous-mêmes.

Ces êtres organisent la descente de ce rayon dans la matière. Ils organisent les attributs et les placent selon l’idiosyncrasie de chaque rayon, afin de les développer en action, en création ou en évolution, au sein des différentes dimensions de l’univers.

Les Seigneurs de la flamme placent dans cette étincelle la connaissance ou la conscience qui est cosmique.

Pour que cette étincelle absorbe 12 attributs liés à cette conscience cosmique, c’est ce que l’on appelle Geburah dans l’Arbre de Vie, ou dans le Bouddhisme, Buddhi.

L’Intime est le Bouddha intérieur que nous avons reçu de ces feux. La conscience que nous recevons des Seigneurs de la flamme s’appelle Buddhi, ce qui signifie sagesse, et est liée à Chokmah.

N’oubliez pas que chaque unité cosmique possède trois forces principales. Ces trois forces primaires ne sont pas complètement développées dans les unités qui sont les enfants des Cosmo-Créateurs, mais chez les Cosmo-Créateurs eux-mêmes, ces trois forces primaires sont pleinement développées et placent les attributs de leur propre deuxième aspect, appelé Chokmah. au sein de la Monade, au sein du Bouddha de chacun de nous qui s’appelle Buddhi.

Chokmah, le deuxième aspect des trois forces primaires est lié au zodiaque ; Kether est lié à l’infini.

Dans l’infini, nous recevons notre Bouddha et dans le zodiaque ou la galaxie elle-même, le macrocosme, nous recevons notre propre Buddhi.

En astrologie, Chokmah est liée aux 12 signes zodiacaux. Ceci est représenté dans différentes mythologies avec différents symboles : dans la Bible, dans l’Ancien Testament, ce sont les 12 tribus d’Israël.

Afin de mieux comprendre cela, examinons le mot Israël, afin de voir quels enseignements se cachent dans ce nom. En Hébreu, dans la Kabbale, la lettre Shin שין symbolise le « feu ». Ra est une allusion à la lumière solaire ; Ra est l’Ain Soph Aur אין סוף אור. Aur אור signifie « lumière ». Enfin, Dieu est אל El (1+30= 4) Iod-Hei-Vav-Hei יהוה en Hébreu. Ainsi, Ishrael, Israël ישראל est littéralement « le feu de Ra le Dieu אל El (1+30= 4) Iod-Hei-Vav-Hei יהוה ».

Les 12 tribus d’Ishrael ישראל sont 12 attributs cosmiques que chacun de nos Bouddhas possède au sein de sa propre Buddhi. Les noms, Shemoth שמות, de ces 12 attributs cosmiques sont :

Expiation, amour, association, fécondité, foi, volonté, jugement, mémoire, sympathie, altruisme, connaissance, perception.

Ces 12 facultés cosmiques sont en relation avec Buddhi, ce que nous appelons aussi l’âme spirituelle ou l’âme cosmique ; la conscience cosmique. Notre propre Bouddha a le devoir de développer ces 12 facultés. Le développement de ces 12 facultés n’est possible qu’en descendant dans les dimensions inférieures et en apparaissant enfin dans ce monde tridimensionnel.

C’est pourquoi l’Ancien Testament explique cette descente de la manière suivante :

« Et ce sont Shemoth שמות, les noms (dans Tiphereth תפארת, des âmes humaines) des fils d’Ishrael, Israël ישראל qui entrent dans (Assiah עשייה) Mitzrayimah מצרימה à travers l’Ath (la Schekhinah שכינה ) de Jacob את יעקב ; chaque (Iod י, spermatozoïde, dans son feu (אש) sexuel) et (dans le Vav ו ou système nerveux central) de sa maison (zodiacale) sont venus, איש וביתו באו. » – Exode 1:1

Dans d’autres conférences, nous vous avons dit que ce Bouddha, en ce qui concerne ce type de descente, s’appelle Abraham, le père exalté, l’Intime à l’intérieur de nous. Dans ce contexte, la Buddhi intérieure est appelée Isaac, qui est Geburah.

Les deux, unis, forment cet Intime que nous avons à l’intérieur, notre propre Atman-Bouddhi particulier.

Voici notre propre Trimurti particulière, à savoir Atman-Bouddhi, Manas, notre propre Bouddha, notre propre Abraham-Isaac-Jacob intérieur est connecté à ce feu. C’est une lumière qui n’est pas séparée. Dans les mains de Jacob se trouve Joseph (Hod הוד, le corps astral).

Malheureusement, ici, dans cette dimension inférieure, nous nous sentons séparés. Mais lorsque nous plongeons notre conscience dans ce Bouddha, nous découvrons que nous ne faisons qu’un avec tout. Bien entendu, nous sommes développés conformément à notre propre révolution.

Lorsque vous entrez dans une méditation samadhi, vous découvrez comment, à l’intérieur de celle-ci, nous ne faisons qu’un. C’est pourquoi nous nions l’aspect de soi. Il est impossible de faire l’expérience du monde de Chokmah avec ces 12 aspects ou attributs en étant soi-même, comme nous le sommes, ici et maintenant. Dans ce domaine, lorsque nous nous immergeons dans cette connaissance ou conscience, nous sentons que nous sommes tout. Si nous concentrons tout cela dans une unité particulière, nous devenons cette unité. A titre d’exemple, je vais partager quelque chose que j’ai vécu afin de mieux illustrer ce dont je parle ici.

En méditation, j’essayais de comprendre et de saisir qui était Krishnamurti. Évidemment, de son vivant, c’était un initié très actif et donnant des conférences. Il est mort et après sa mort, j’investiguais pendant la méditation. Quand je suis entré dans mon propre satori particulier, mon propre samadhi particulier dans ce monde de Chokmah, lié à ces 12 attributs, je me suis vu comme étant lui.

J’étais assis sur une chaise sous un arbre et il y avait du monde autour de moi et je donnais une conférence en Anglais. Je me souviens très bien d’avoir fait toutes ses manières, et je n’avais aucun doute sur le fait que j’étais lui. Alors, quand je suis revenu dans mon corps après cette expérience, j’ai dit que ce n’était pas possible. Je ne suis pas Krishnamurti. Il est décédé il y a quelques années. Comment est-ce possible ?

Ensuite, j’ai compris que dans le monde de Chokmah, lorsque quelqu’un y atteint le samadhi, on peut expérimenter chaque unité de l’être et on ne fait pas l’expérience de voir cet être, mais d’être cet être lui-même. Alors j’ai compris qu’il n’y avait pas de soi dans ce monde.

Chacun d’entre vous peut en faire l’expérience en concentrant son mental et en entrant dans ce monde, et vous serez cela et c’est la beauté du satori et du samadhi. Notre objectif est de vivre cela à chaque seconde, à chaque instant ; c’est ce que nous appelons l’auto-réalisation, la réalisation de cela en vous. L’auto-réalisation signifie mettre votre conscience à ce niveau. Cela signifie que vous ne pouvez pas être ce que vous êtes actuellement, mais que vous deviendrez tout.

C’est un aspect du Dharma, parce que le Dharma est la connaissance. C’est la sagesse. C’est ce que nous partageons lorsque nous nous identifions ou nous nous unissons à un aspect de nous-mêmes qui est notre propre Bouddha particulier, alors nous recevons le Dharma. Le Dharma, sa connaissance ou sa bonté peuvent être reçus de plusieurs manières ; physiquement, mentalement, spirituellement, consciemment à différents niveaux.

Notre objectif est de recevoir tout le Dharma. Le tout, dirons-nous, émanation de l’Absolu. Comme nous l’avons expliqué, la première émanation de l’absolu est Kether. Dans le Bouddhisme, cela s’appelle Dharmakaya. Le corps du Dharmakaya est le corps de Kether, le corps du Père. Ce Dharma émerge de l’Absolu et si nous nous auto-réalisons complètement, ce Dharma embrasse tout l’Arbre de Vie comme une unité complètement auto-réalisée.

Le Dharma s’exprime de différentes manières à travers les différents Bouddhas. Lorsque ce faisceau de lumière descend de l’inconnaissable, même jusqu’à Klipoth – parce que Klipoth, la neuvième sphère, est le Voyage final – nous constatons que lorsque la Buddhi acquiert ces 12 attributs afin de les développer, elle a besoin de l’aide de chacun des cieux liés à l’Arbre de Vie.

Lorsque vous comptez de Kether à Yesod, qui est au-dessus de Malkuth, vous trouvez neuf Sephiroth, neuf sphères qui sont toujours en relation avec les neuf cieux ; dans chaque religion, vous trouvez toujours neuf cieux liés à l’Arbre de Vie. Vous y trouvez les différents êtres qui développent leurs 12 attributs dans chaque sphère. Les 12 attributs que nous avons nommés sont les attributs cosmiques que vous devez développer dans le plan physique, dans le plan vital, dans le plan émotionnel, dans le plan mental, dans le plan de la volonté, le plan de la conscience divine, à travers l’Intime et les trois forces primaires. Ils doivent être développés dans le monde de Yetzirah. Le monde de Yetzirah est le monde des anges, lié aux 9 cieux.

Afin d’acquérir ces attributs, les Seigneurs de la Flamme offrent un autre cadeau à ce Bouddha. Ce don est ce que nous appelons la volonté, qui en Sanskrit est appelée le manas supérieur, le mental supérieur.

Ce manas n’est pas comme le mental que nous avons ici, c’est le mental abstrait qui comprendra complètement et développera les 12 attributs par son activité dans les dimensions inférieures. C’est pourquoi une partie de cette volonté du Bouddha descend de ce niveau et traverse les cieux pour finalement entrer dans la zone planétaire qu’est le monde physique ; en d’autres termes, entrer dans cette matière physique. Cette particule est ce que le Bouddhisme appelle le Tathagatagarbha.

Quel est l’embryon de ce Tathagatagarbha, de notre propre Bouddha particulier, de notre propre divinité particulière ? Cet embryon d’âme est celui qui descend d’en haut, des neuf cieux, et entre dans la matière. Cette matière en Hébreu est appelée le royaume, Malkuth, le monde physique, la roue du Samsara.

Ici, dans la roue du Samsara, nous trouvons ce que la Kabbale appelle Assiah, ce qui signifie le monde de la matière et de l’action. Cette Assiah est souvent confondue avec le continent Asiatique dans de nombreux livres traduits de la Kabbale en Français. Le monde d’Assiah est ce que l’Ancien Testament dans la Bible appelle Mitzrayim, l’Égypte. Ainsi, dans la Bible, l’Égypte, ésotériquement parlant, est un symbole de la planète Terre entière, où les 12 attributs descendent à travers le Tathagatagarbha afin de développer les 12 tribus d’Israël en exil dans notre Égypte particulière, Malkuth, Mitzrayim, Assiah.

« Il existe trois aspects de l’évolution cosmique qui se mélangent et s’entrelacent partout sur notre Terre. Ces trois aspects sont l’évolution Monadique, l’évolution mentale et l’évolution physique. Cependant, les Essences Monadiques constituent la base fondamentale du développement mental et physique dans les processus d’évolution. Tant que les Essences Monadiques évoluent, toute la grande Nature se transforme. Chacun de ces trois courants en évolution est dirigé et gouverné par divers groupes de Dhyanis ou Logoi. Ces groupes d’êtres divins se retrouvent représentés dans toute notre constitution humaine. Ce qui est appelé « être humain » est constitué par le courant Monadique en union avec la vague évolutive du mental et avec l’évolution du corps physique. » – Samael Aun Weor

Quand on parle d’évolution mentale, on parle de l’évolution des corps lunaires protoplasmiques dans le règne minéral, le règne végétal, le règne animal et enfin le règne humanoïde. Rappelez-vous que, dans le Bouddhisme, nous affirmons que la nature de Bouddha n’est pas seulement dans le corps humain mais aussi dans les animaux, les plantes et les minéraux, parce que cette nature de Bouddha doit commencer à apprendre à exprimer ces 12 attributs cosmiques depuis le fond même d’Assiah, la matière, le monde du Samsara. C’est ce qu’on appelle l’évolution.

Dans l’évolution du Règne minéral, d’autres hiérarchies aident ces faisceaux de lumière avec les 12 attributs, déjà imprégnés par les 9 cieux, à développer ces attributs sous la direction des anges de Yetzirah. Les anges de Yetzirah sont les hiérarchies des neuf cieux qui instruisent chacun de ces Bouddhas ou entités spirituelles qui ont besoin de développer cela. Par conséquent, ils reçoivent les corps lunaires protoplasmiques qui sont en relation avec le manas inférieur. Qu’est-ce que le manas inférieur ? C’est un type de mental qui aidera à développer cela mécaniquement sous la direction des Anges, des Divas, des Maîtres, des instructeurs, des unités qui possèdent déjà cette sagesse, cette connaissance.

Lorsque nous étudions le règne minéral, nous découvrons au sein des roches ces entités que nous appelons élémentaux. Chaque élémental est habillé de ces corps lunaires protoplasmiques qui viennent de naître et que le Tathagatagarbha (de tathāgata + garbha matrice), l’embryon de l’âme, tout au long du processus d’évolution, s’active sous la direction de la Monade qui demeure dans les dimensions supérieures qui constituent une connexion parfaite. Le Bouddha intérieur et la Buddhi avec les 12 attributs imprègnent les forces d’en haut à travers les neuf cieux jusqu’au Tathagatagarbha. Ensuite, les Anges de Yetzirah instruisent l’embryon d’âme, les élémentaux, dans leur évolution, afin d’apprendre à gérer ces forces. Bien sûr, ils constituent un collectif d’êtres qui ont besoin d’aide, ils apprennent comme des étudiants, et c’est ce que nous appelons la Sangha (Hébreu : Yeshiyvah ישיבה).

Un groupe collectif, une communauté d’êtres qui apprennent sous la direction des Anges ; c’est une Sangha. Les élémentaux du règne minéral sont connus dans l’ésotérisme sous le nom de gnomes et pygmées de la terre. Il y en a beaucoup et ils agissent dans leurs corps lunaires protoplasmiques conformément aux commandements des anges qui les contrôlent et les enseignent.

Si vous entrez en méditation dans la forêt pour investiguer sur ces êtres, vous découvrez différentes écoles ou temples où ces anges instruisent ces élémentaux et mettent en activité les 12 attributs que nous avons nommés ici en relation avec les neuf cieux. C’est ce qu’on appelle le Dharma et ils vivent dans le bonheur.

Bien sûr, la capacité des douze attributs est infinie, ils doivent donc apprendre, petit à petit, en agissant dans les éléments.

Ce que vous voyez comme éléments dans ce monde matériel que nous appelons en synthèse feu, eau, air, terre, éther et autres éléments, sont ceux qui sont manipulés par ces élémentaux qui à leur tour sont guidés par des êtres supérieurs. C’est pourquoi le monde d’Assiah est appelé le monde de la matière et de l’action. C’est par l’action qu’ils apprennent à appliquer le Dharma ; en d’autres termes, ils apprennent à travailler avec ces forces supérieures d’en haut, ici dans le monde matériel, dans leur communauté, la Sangha. Ainsi, chaque individu est un Bouddha qui applique le Dharma dans la Sangha.

C’est beau de voir ces êtres lorsqu’ils entrent dans un niveau supérieur de la nature, le royaume des plantes. Leur corps est plus évolué et bien sûr, la transformation du Dharma des forces qui viennent d’en haut dans ces beaux corps des plantes s’effectue grâce aux corps lunaires protoplasmiques plus évolués, plus raffinés.

Dans le royaume des plantes, nous trouvons aussi des familles ; familles de différents arbres ou de différentes plantes qui se rassemblent. Ils ont leur propre Sangha particulière. Dans les dimensions intérieures de la nature, ils se réunissent. Ils canalisent également les forces dans le plan physique et contrôlent le monde de la matière et de l’action selon l’intelligence des êtres supérieurs.

C’est pourquoi vous lisez dans la Bible (et pas seulement dans la Bible mais dans d’autres livres) comment les grands Maîtres entrent en contact avec ces élémentaux et développent leurs attributs en tant qu’êtres humains. Ils contrôlent évidemment les douze attributs des êtres inférieurs qui se trouvent sous eux et peuvent accomplir des merveilles avec la nature.

C’est ce que l’on appelle dans de nombreux livres de mythologie la magie. Il n’y a rien qui puisse influencer votre volonté dans les royaumes inférieurs, qui sont manipulés par les élémentaux ou les Bouddhas inférieurs.

À ce propos, nous constatons que le Maître Samael Aun Weor a écrit deux livres : La Rose Ignée et Médecine Ésotérique et Magie Pratique, tous deux liés à la magie de la nature. Dans ces livres, nous apprenons comment mettre en activité ces attributs et comment utiliser l’intelligence des plantes pour aider, conformément à la loi. En effet, ce que nous appelons la magie est simplement la manière dont vous commandez, ou savez contrôler les forces supérieures afin d’appliquer le Dharma. C’est ce qui différencie les magiciens noirs et les magiciens blancs : tandis que les magiciens blancs apprennent à travailler avec et à tirer parti des forces de la nature, conformément à la loi et à leur divinité intérieure, les magiciens noirs utilisent ces forces à la poursuite du désir.

Dans le Bouddhisme, et dans d’autres religions, ils savent développer certains pouvoirs pour commander aux élémentaux et ensuite les élémentaux obéissent parce qu’ils obéissent aux anges et à toute force supérieure qui peut les commander. Mais les Anges obéissent toujours à la loi et ils le font selon le Dharma ou la force qui vient de Kether, voire de l’Adi-Bouddha. Cependant, les magiciens noirs ne se soucient de rien, ils le font simplement selon leur propre caprice, et la conséquence de cela est le karma, car lorsque vous appliquez des forces sans permission, vous créez du karma, qui est le contraire de ce Dharma.

Dans le règne animal, on trouve également des familles, par exemple des familles de chats. Je me souviens maintenant que je parle de chats, une de mes amies a vécu une expérience avec son chat qu’elle aimait beaucoup. Lorsque mon amie était dans le plan astral, elle poursuivait toujours ce chat et le chat la guidait vers sa propre Sangha. Finalement, quand elle arriva, il y avait beaucoup de chats et un Ange, un être supérieur, les instruisait. Bien sûr, il y a beaucoup de chats ; il peut y avoir de nombreuses Sanghas de chats différents dans différentes parties de la nature, mais chaque animal en évolution bénéficie de cette guidance.

C’est ainsi que le Bouddha intérieur apprend et se développe dans la nature, mais le but final est d’atteindre le royaume humain ou en d’autres termes de recevoir un corps physique capable de développer ces 12 attributs, capable de travailler consciemment et de les développer de manière indépendante, non collectivement. Cet enseignement collectif est quelque chose qui, dans l’évolution, est toujours appliqué au règne minéral, au règne végétal et au règne animal. Cependant, lorsqu’on atteint le règne humanoïde, ou autrement dit le règne animal intellectuel, il y a la possibilité d’abandonner les communautés pour développer l’individualité.

Quand je dis individualité, cela signifie la capacité de développer les 12 attributs à travers les neuf cieux sans intervention, mais seulement de votre Dieu intérieur particulier et individuel אל El (1+30= 4) Iod-Hei-Vav-Hei יהוה ou Bouddha intérieur.

Dans ce scénario, la nature vous offre 108 opportunités. Si nous observons ce nombre 108. nous verrons que c’est la somme de 9 (les cieux de la nature) multipliée par 12 (les attributs divins que nous devons développer). Les 108 perles du collier du Bouddha symbolisent précisément cela. Nous devons développer les 12 attributs en relation avec les neuf cieux ; votre propre Bouddha doit faire cela.

C’est pourquoi on dit que les hiérarchies nous ont donné 108 vies car dans chaque vie nous recevons certaines forces/influences pour les 12 attributs, les 12 tribus, la ceinture zodiacale à travers les neuf cieux. Si nous profitons de la vie, nous nous développons ; c’est le but de ce que nous appelons le Retour.

Les corps lunaires protoplasmiques du niveau dans lequel nous nous trouvons reçoivent également ces forces, car le Dharma est reçu à travers les corps lunaires protoplasmiques qui évoluent. Le problème est que lorsque nous entrons dans le Règne humanoïde, les corps lunaires protoplasmiques commencent à involuer car tout dans ce monde d’Assiah, le monde du Samsara a un début et une fin.

Le corps physique que vous recevez naît, grandit, devient adulte, vieillit, meurt et va dans la tombe et se désintègre, mais les corps lunaires protoplasmiques qui nous accompagnent du règne minéral, évoluant à travers le règne végétal vers le règne animal, et enfin dans le règne humanoïde, après avoir atteint ce règne final du Samsara, ils commencent à involuer. Lorsqu’ils involuent, ils ne sont plus au service du Dharma, mais deviennent un fardeau pour la conscience, car alors les corps lunaires protoplasmiques commencent à canaliser les forces lunaires qui sont liées à l’involution et à l’enfoncement des corps lunaires protoplasmiques dans les 9 couches inférieures de Klipoth, les enfers, ou l’enfer.

En d’autres termes, au début, au cours de l’évolution, les corps protoplasmiques nous aident et nous recevons le Dharma, mais à ce niveau où nous nous trouvons actuellement, nous ne pouvons plus dépendre des corps lunaires protoplasmiques, car ils commencent à involuer. De ce fait, les grandes hiérarchies interviennent et nous apprennent à construire des corps solaires, ce qui nous permettra de poursuivre le développement des 12 attributs des 9 cieux de Yetzirah. C’est pourquoi dans l’Évangile de Jean il est écrit :

« Jésus répondit et lui dit : En vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît de nouveau, il ne peut voir le royaume de Dieu. » – Jean 3:3

Cela signifie que l’on ne peut pas entrer dans les 9 royaumes célestes de Yetzirah, qui sont au-dessus de Malkuth (le monde de la matière et de l’action) avec les corps lunaires protoplasmiques, la nature engloutira, détruira, annihilera les corps lunaires protoplasmiques, car ils appartiennent à la nature, à la roue du Samsara.

Le Pharaon פרעה ou intellect protoplasmique lunaire (le roi de Mitzrayim מצרים), affrontant Moïse משה ou Tiphereth תפארת, corps de la volonté, et Aaron אהרון ou Netzach נצח, corps mental solaire.

Par conséquent, nous devons créer les corps solaires Hod émotionnel astral supérieur הוד, à savoir Benjamin et Joseph, mental (Aaron אהרון) et causal (Moïse משה) qui serviront de véhicules afin de maintenir ce développement de notre propre Bouddha individuel.

Dans de nombreux groupes, ils développent les attributs des neuf cieux avec les corps lunaires protoplasmiques en les contrôlant avec le développement des 12 attributs. À un certain niveau, vous pouvez acquérir cela. Autrement dit, c’est le développement des vertus de l’âme, mais sans maîtrise. C’est le cas du grand yogi Paramahamsa Yogananda : il travaillait, développait les 12 attributs en relation avec les 9 cieux, mais avec les corps lunaires protoplasmiques. Il a réalisé beaucoup de développement, beaucoup d’éveil de sa propre conscience mais malheureusement, les corps lunaires protoplasmiques ne peuvent pas être emmenés dans les royaumes des cieux car ils appartiennent à la nature.

Il avait donc besoin de créer les corps solaires, mais il a refusé de les créer parce qu’il pensait que le simple fait de faire le travail qu’il faisait lui-même était suffisant. Le résultat fut qu’il se rendit dans les Limbes, la première sphère de l’enfer. C’est là que vous trouvez ces individus qui, dans leur conscience intérieure, ont éveillé de nombreux attributs de leur Bouddha intérieur ; mais sans corps solaires, ils n’atteignent qu’un certain niveau de développement. Pour développer toute la nature de Bouddha en vous, vous devez créer les corps solaires.

Prenons maintenant l’exemple du maître Dalaï Lama.

Il a créé ses corps solaires dans les âges précédents. Il n’est pas devenu un Bouddha illuminé du niveau auquel il se trouve actuellement dans cette vie. Ainsi, il a créé son corps astral solaire, son corps mental solaire et son corps causal solaire dans d’autres vies ; c’est également le cas de Krishnamurti qui l’a fait dans des vies antérieures.

De nombreux initiés ont fait ce travail dans des vies antérieures, mais lorsque nous étudions tous les lamas du Bouddhisme, ils n’ont pas tous un corps astral solaire ; en effet, la plupart d’entre eux ont des corps lunaires protoplasmiques qui finiront par se désintégrer, car ces corps lunaires protoplasmiques doivent mourir comme meurt le corps physique. Mais bien entendu, le processus est différent.

C’est pourquoi le Dharma nous enseigne le Tantra, qui est la connaissance que nous donnons dans la Gnose, la magie sexuelle, la manière dont mari et femme peuvent engendrer les corps solaires ; personne ne peut monter au ciel avec des corps lunaires protoplasmiques. Nous disons que vous ne pouvez pas vous éveiller pleinement, développer pleinement votre conscience avec les corps lunaires protoplasmiques… cependant, il y a quelque chose d’autre à l’intérieur de ces corps lunaires protoplasmiques qui peut se développer, et cette autre chose est ce que nous appelons l’ego, qui est une fausse création.

En effet, dans ce règne humanoïde, on commet beaucoup d’erreurs et on fortifie des éléments animaux du règne animal et on en crée d’autres qui nous donnent des agrégats psychologiques ; ce qui signifie que nous plaçons dans notre psyché quelque chose d’autre qui ne devrait pas être là.

Bien entendu, la grande connaissance nous enseigne que nous devons désintégrer ces agrégats psychologiques afin de libérer la conscience et de développer ces 12 attributs. C’est la seule façon. Ainsi, la loi du sept est précisément la loi qui nous amène petit à petit vers les niveaux supérieurs.

Il nous faut parcourir la montagne de l’initiation, et pour cela bien sûr nous avons le corps physique qui est un don car ce corps physique que nous avons est le résultat de transformations millénaires que des êtres supérieurs ont opérées dans le laboratoire de la nature, pour enfin acquérir ou créer ce corps que nous avons. Ce corps physique n’est pas ce que les gens pensent, qu’il a été créé à force de magie. C’est le résultat de l’évolution et pas seulement de l’évolution dans ce monde physique, mais venant du Règne minéral comme simple germe et évoluant dans le plan physique jusqu’à atteindre le niveau dans lequel nous nous trouvons actuellement.

Ce corps physique possède ce que nous appelons les 12 glandes principales qui nous relient aux 12 apôtres de Jésus de Nazareth. Ces 12 Apôtres ou 12 glandes principales du corps physique sont connectés aux douze attributs cosmiques. Le but de l’auto-réalisation est d’activer chaque apôtre, ou en d’autres termes, chaque attribut spirituel du corps physique et des corps internes, afin de développer complètement le Bouddha de l’illumination en nous.

Ainsi, ici, comme nous le sommes maintenant, grâce au développement de l’évolution de différents aéons, nous avons le corps physique… même si le corps physique en ce moment est en train d’involuer et de se décomposer, il retient toujours dans les glandes que, si nous activons grâce à l’utilisation droite de l’énergie sexuelle, nous développerons ces 12 attributs.

Laissez-moi vous dire quelles sont ces 12 glandes du corps physique :

Pinéale, supra-rénale, pancréas, thymus, thyroïde, pituitaire, le cerveau qui est divisé en deux ; droite et gauche. Ensuite, nous avons le bulbe rachidien où se trouvent le cerveau postérieur, l’appendice, le sacrum et les glandes sexuelles. Le sacrum lui-même est lié à ce que nous appelons l’utérus chez la femme et la prostate chez l’homme.

Les Douze Apôtres de Jésus-Christ sont liés à chacune de ces 12 glandes comme nous l’avons déjà mentionné et que nous avons enseigné dans certaines conférences dans le passé. Le développement de ces 12 glandes est lié à certains plexus qui sont liés à ce qu’on appelle en Sanskrit les chakras.

La seule façon de développer les 12 attributs du corps physique est de transmuter l’énergie sexuelle. C’est la seule énergie capable de mettre en activité les douze attributs en commençant par le corps physique.

Le corps physique est un merveilleux laboratoire qui attire les forces de la nature.

Le corps physique est directement connecté au Bouddha supérieur, où l’on retrouve les trois forces primaires, Kether-Chokmah-Binah ; Père, Fils et Saint-Esprit, les trois Logoï. et ils sont connectés aux trois systèmes nerveux que nous avons dans le corps physique.

Ainsi, lorsque vous étudiez votre corps physique, les trois systèmes nerveux sont les trois rayons de notre propre Glorian Supérieur qui se manifeste dans le corps physique.

Bien entendu, les sept chakras principaux ou églises de la colonne vertébrale représentent les Sephiroth inférieurs de l’Arbre de Vie. C’est pourquoi, dans le Gnosticisme, nous affirmons que l’Arbre de Vie est la colonne vertébrale. C’est simple à voir, car dans la colonne vertébrale nous avons les trois systèmes nerveux ; le système nerveux central qui est également appelé système cérébro-spinal, qui est le véhicule de Kether כתר la première force primaire. Ensuite, le système nerveux grand sympathique qui est le canal de la seconde force appelée Chokmah חכמה. Enfin, le parasympathique ou vague, qui est le canal des forces du Saint-Esprit, Binah בינה, appelé Mi מי et Mah מה.

« Et (dans le Vav ו ou moelle épinière), Iod-Hei-Vav-Hei Elohim יהוה אלהים forma (ייצר) Ath HaAdam (את־האדם) de la poussière (manne מן) du sol (Man-HaAdamah מן־האדמהאדמאדמ) ), et insuffla dans ses narines les souffles de vie (Neshamoth Chayim נשמת חיים) ; et HaAdam האדם est devenu une âme vivante (Nephesh Chaiah נפש חיה). » – Genèse 2:7

Assiah עשייה – Mitzrayimah מצרימה

Nous retrouvons donc là les trois aspects du premier triangle dans notre corps physique. Ensuite, dans la colonne vertébrale, nous avons sept centres magnétiques, que Jean le Divin appelle dans le Livre de l’Apocalypse, les sept églises d’Assiah. Assiah, comme nous l’avons dit, est notre matière particulière.

Ces sept églises, plus les trois systèmes nerveux, sont au total 10 et représentent les 10 Sephiroth de notre colonne vertébrale, l’Arbre de Vie. En mettant en activité, en éveillant ces centres magnétiques, c’est ainsi que nous commençons à activer les différentes parties de notre Buddhi et de notre Atman-Bouddha.

Nous devons extraire les éléments que nous avons déjà conquis et les livrer à notre propre Bouddha. Où sont ces éléments que nous avons déjà conquis ? N’oubliez pas que nous sommes dans le règne humanoïde. Si nous sommes dans le règne humanoïde, c’est parce que nous avons déjà conquis le règne animal, le règne végétal et le règne minéral, même si de manière mécanique. Mais, en activant et en éveillant notre propre individualité, ces forces donnent la structure à notre propre Bouddha. C’est ce qu’on appelle la première initiation des mystères majeurs. Lorsque l’individu extrait toute cette expérience qu’il a vécue à travers des millénaires, des aéons dans les différents règnes inférieurs de la nature, à travers la transmutation à travers le Tantra, le feu du Saint-Esprit, la Kundalini s’élève dans la colonne vertébrale et nous donne précisément ces pouvoirs qui nous identifie à notre propre Bouddha. Le Bouddha et la Buddhi extraient cela et c’est ainsi que naît un nouveau maître dans les mondes supérieurs qui entre dans la ligne d’individualité qui guide les Bouddhas vers le Nirvana. Parce que c’est le but de notre propre nature de Bouddha d’entrer dans le Nirvana.

Bien sûr, l’entrée au Nirvana n’est ouverte qu’à ceux qui possèdent un corps solaire, pas à des corps lunaires protoplasmiques, même s’il est possible de faire l’expérience de ces niveaux de la nature à travers le samadhi, temporairement.

Mais pour atteindre ce niveau et y rester en tant que citoyen, pour y appartenir, pour ne pas y entrer en tant qu’invité, nous avons besoin de véhicules, ou comme le dit le maître Jésus dans la Bible, nous devons naître de nouveau ; c’est-à-dire que nous devons créer, par la chasteté, les corps solaires internes. Sinon, ce n’est pas possible.

Après avoir conquis le corps physique, nous entrons alors dans l’aspect supérieur du corps physique. Notre propre Bouddha intérieur doit conquérir cet aspect vital du corps physique ; ensuite, notre propre Bouddha doit conquérir l’aspect émotionnel de sa propre individualité. Après cela, l’aspect mental de sa propre individualité doit être conquis, jusqu’à finalement atteindre sa propre volonté. En conquérant ce niveau, nous devenons ce que la Bible appelle Adam transformé en image de Dieu אל El (1+30= 4) Iod-Hei-Vav-Hei יהוה.

Cela ne signifie pas que lorsque quelqu’un atteint Tiphereth, ce processus de transformation à l’image de Dieu אל El (1+30= 4) Iod-Hei-Vav-Hei יהוה est complètement développé ; ce n’est qu’une étape. Or, lorsque nous atteignons ce niveau, c’est parce que nous avons créé les trois corps solaires. Ces trois corps solaires sont les corps solaires astral, mental et causal. Une fois que nous avons atteint ce niveau de développement, nous avons alors le droit de nous appeler Adam, un être humain. En effet, il est impossible de qualifier d’être humain une personne possédant un corps lunaire protoplasmique. C’est pourquoi dans le Gnosticisme, nous appelons quelqu’un avec des corps lunaires protoplasmiques, un humanoïde ou un animal intellectuel, c’est-à-dire une anima (âme) qui possède l’intellect, mais qui doit encore atteindre le niveau d’Adam, un être humain.

Lorsqu’on atteint le niveau de création des corps solaires dans Tiphereth, alors ce Bouddha doit travailler très sérieusement comme nous l’enseigne le Bouddha Gautama Shakyamuni. Il doit s’asseoir au pied de l’arbre Bodhi pour combattre Mara et ses légions. Bien sûr, c’est une allusion aux corps lunaires protoplasmiques que nous devons annihiler/désintégrer ainsi qu’aux agrégats psychologiques que nous avons créés avec notre ignorance, et que nous avons en abondance. Le désintégrer est important pour le nouveau-né.

Dans le Christianisme, il y a beaucoup de prédications sur la seconde naissance et si vous parlez avec un Chrétien de n’importe quelle confession, il se dit « Chrétien nouveau-né ». Symboliquement, ce sont des Chrétiens nouveau-nés, mais concrètement, factuellement, ils ne le sont pas, car pour être un Chrétien nouveau-né, vous devez créer les corps solaires astral, mental et causal, et atteindre le monde de Tiphereth, et alors là vous êtes célébrés intérieurement dans les temples comme un nouveau-né, un nouveau Bouddha. Le nouveau Bouddha entre dans le Nirvana.

Ce sont ces individus qui doivent méditer davantage pour annihiler les corps lunaires protoplasmiques, car si vous n’annihilez pas les corps lunaires protoplasmiques, ainsi que les agrégats psychologiques qui sont animaux, alors vous risquez de créer un double centre de gravité, un au-dessus et un en-dessous et c’est ce qu’on appelle en termes ésotériques un Hasnamuss (un Naphal נפל) : un individu qui atteint le niveau du nouveau-né mais qui a un ego à l’intérieur. Rappelez-vous que dans le Gnosticisme, nous disons qu’il existe de nombreux types de Hasnamussen, car en synthèse, nous sommes tous des Hasnamussen parce que nous avons une spiritualité, des forces supérieures qui se développent et en même temps nous avons des défauts animaux. Tant que nous avons des corps lunaires protoplasmiques, nous sommes des Hasnamussen (Nephelim נפלים).

C’est ce qu’explique Maître Samael Aun Weor : si un maître vient de naître, mais conserve encore les corps lunaires protoplasmiques, il est un Hasnamuss. La désintégration des corps lunaires protoplasmiques est une initiation très douloureuse et est représentée dans le drame de la croix de Jésus, la manière dont, petit à petit, vous annihilez tous ces éléments jusqu’à atteindre le niveau d’être humain fait à l’image de Dieu אל El (1+30= 4) Iod-Hei-Vav-Hei יהוה. C’est un long processus. Ce n’est pas comme le pensent les Chrétiens, selon lesquels en claquant du doigt et en croyant en Jésus, vous êtes un nouveau-né et ensuite vous allez au royaume des cieux. C’est un long travail sexuel alchimique que nous avons à faire ; parfois, cela prend plusieurs vies.

Bien sûr, vous êtes toujours assisté. Dans les niveaux inférieurs, vous avez été assisté en tant qu’élémentaux de la manière solaire ; lorsque vous atteignez des niveaux supérieurs, vous êtes également assisté par des Maîtres, à chaque étape. Les maîtres des neuf cieux et au-delà vous assistent intérieurement parce que vous voulez devenir un être humain et ils savent qu’il y a le développement des douze attributs à travers les neuf cieux. C’est pourquoi le Maître Samael a écrit un livre, Les Trois Montagnes, où il explique comment il a développé les neuf cieux intérieurs à travers un travail sérieux, un travail alchimique, jusqu’à devenir un Bouddha illuminé ou un Bouddha Maitreya.

Donc, voilà, nous devons comprendre et saisir comment le Bouddha est lié à chacun de nous et comment le Dharma l’est aussi, parce que le Dharma que nous enseignons ici dans l’école Gnostique est le résultat du développement et de la sagesse de Samael Aun Weor ; c’est son propre Dharma. Mais bien sûr, nous avons différents groupes de Sangha dans le plan physique, mais la Sangha principale à laquelle nous voulons appartenir est la Sangha interne. De même que les Élémentaux se réunissent dans différentes Sanghas dans les dimensions internes dans lesquelles ils sont des créatures innocentes guidées par les anges dans le niveau dont nous parlons ici. Lorsque vous commencez à travailler et que vous entrez dans la Sangha interne, l’Église Gnostique, et que vous commencez à recevoir le Dharma non seulement physiquement mais intérieurement pour votre propre développement particulier, c’est votre Dharma particulier pour le développement de votre propre Bouddha, qui est un processus. Bien sûr, il existe de nombreuses façons de développer cela après avoir atteint la deuxième naissance.

Chemins Secs et Humides derrière la Mère Divine de Léonard de Vinci

Lorsque vous atteignez la deuxième naissance, qui est le monde de Tiphereth, alors le Bouddha nouvellement né peut choisir d’emprunter le chemin sec ou le chemin humide. Qu’est-ce que le chemin sec ? Le chemin sec est le chemin que parcourt le Dalaï Lama, c’est-à-dire être célibataire et travailler en lui-même. Il possède déjà les corps solaires et il annihile, petit à petit, son aspect animal, les corps lunaires protoplasmiques à un échelon inférieur. Mais il y a d’autres Maîtres qui veulent travailler rapidement et c’est ce qu’on appelle le chemin humide qui est liée au Tantra dans lequel ils utilisent la magie sexuelle après la seconde naissance afin d’annihiler très rapidement les agrégats psychologiques et d’acquérir différents niveaux de Yetzirah et au-delà.

Ainsi, vous avez le choix, car vous avez votre propre volonté après la seconde naissance : emprunter le chemin sec ou le chemin humide. Cependant, personne ne peut choisir le chemin sec avant de naître de nouveau. C’est quelque chose qui est très mal compris dans le Bouddhisme, le Christianisme et d’autres religions ; en entrant dans la religion, ils choisissent le chemin du célibat et rejettent le sexe opposé, pensant que c’est le chemin. La voie du chemin sec réservé à ceux qui ont atteint Tiphereth ; c’est ce qu’on appelle Brahmacharya. En d’autres termes, il existe deux types de Brahmacharya : le lunaire qui est lié à ceux qui ont des corps lunaires, les corps lunaires protoplasmiques qui rejettent le sexe, pensant qu’ils peuvent auto-réaliser leur propre Bouddha en rejetant le sexe. Yogananda a pris le chemin sec mais c’était lunaire car il n’avait pas de corps solaires. L’autre qui a emprunté le chemin sec est le Mahatma Gandhi.

Il est logique que le Dalaï Lama emprunte le chemin sec car il possède déjà des corps solaires. Mais les moines qui empruntent le chemin sec sans corps solaire le font de manière illogique car tôt ou tard ils doivent entrer dans le chemin humide. Vous devez créer pour choisir ce chemin, pas avant.

Choisir d’emprunter le chemin sec avant d’atteindre Tiphereth, avant de devenir un être humain, c’est comme vouloir monter à cheval sans lui mettre la selle au préalable. D’abord, vous mettez une selle sur le cheval, puis vous le montez. Mais cela est en relation avec les trois joyaux. Le premier est le Bouddha qui est un joyau que l’on développe petit à petit par ses propres efforts. Le deuxième est le Dharma. Le 3e joyau se situe à différents niveaux, dans la Sangha, lorsque vous appartenez à différents groupes, selon votre propre niveau, selon votre propre développement. Il existe une Sangha supérieure dans les mondes internes, appelée la Rose-Croix. La Rose-Croix, dans les mondes internes, sont composés uniquement de maîtres ressuscités, comme le Comte Saint-Germain, Cagliostro, Jésus de Nazareth et tous les maîtres ressuscités. Mais appeler quelqu’un ici dans ce monde physique un Rosicrucien sans être un Maître ressuscité n’est en réalité qu’un compliment, comme lorsqu’un Chrétien dit que je suis un Chrétien nouveau-né.

Public : Si nous appartenons au même rayon après avoir été engendrés, après être issus de l’Absolu. Sommes-nous nés dans des signes zodiacaux différents après avoir atteint le royaume humanoïde

Instructeur : Oui, nous devons être « arrondis » psychologiquement parlant. Dans ce royaume physique humanoïde, nous devons être arrondis, c’est pourquoi, dans certaines incarnations dans le monde physique, nous naissons dans des signes zodiacaux différents et recevons l’influence de différents cieux. C’est pourquoi 12 x 9 est 108 qui sont liés au développement de la Bouddhéité, le collier de Bouddha. Afin de recevoir ces attributs ou l’influence des Bouddhas supérieurs, Maîtres illuminés. Nous avons besoin de nous incarner dans certains signes zodiacaux. Parfois, nous ne développons pas ces attributs particuliers de ce signe zodiacal en une seule vie et nous avons besoin de plusieurs vies.

Public : Concernant les 9 cieux de Yetzirah, pouvez-vous expliquer davantage sur les 4 mondes, les 9 cieux d’Atziluth et de Briah ?

Instructeur : Lorsque nous étudions la Kabbale, nous étudions 4 mondes : Assiah, qui est le monde de la matière et de l’action, dans lequel nous sommes ; Yetzirah, qui est celui dont nous avons parlé aujourd’hui, en relation avec le développement du Bouddha intérieur. Mais au-delà de cela, lorsque vous atteignez la résurrection, vous entrez dans le monde de Briah qui est au-dessus de Yetzirah. C’est le monde intérieur de Briah, où se développent les Cosmo-Créateurs. Au-delà se trouve le monde d’Atziluth, qui implique le développement de l’Arbre de Vie dans les niveaux supérieurs, les royaumes supérieurs qui sont également liés aux 12 attributs.

C’est pourquoi le Maître Samael a écrit Les Trois Montagnes, et il dit en synthèse que les 12 travaux d’Hercule sont liés à ces 12 attributs et aussi que le Bouddha est lié aux 12 travaux ou tâches. Les 12 attributs sont développés des niveaux inférieurs aux niveaux supérieurs. Cela ne signifie pas que parce que vous avez atteint les niveaux supérieurs de Yetzirah, vous avez déjà terminé. Après, vous entrez dans Briah, puis vous continuez à y évoluer. Le but est d’atteindre le niveau de Paramarthasatya, qui est un développement entier et complet de toute la conscience liée à l’Absolu.

Public : Qu’est-ce qu’Adi ?

Instructeur : Cela est lié à la lumière ; le Bouddha de la lumière, la lumière incréée, qui n’est créée par aucun Dieu ni aucun Bouddha. Il est lié à l’Espace Abstrait Absolu, Ain Soph Aur.

Public : Les corps lunaires protoplasmiques ont-ils canalisé la lumière solaire à un moment donné ?

Instructeur : Les corps lunaires protoplasmiques sont toujours lunaires, mécaniques. Ils travaillent avec les forces solaires avec le Dharma de manière positive, c’est-à-dire une pleine lune. Cela agit en conséquence avec les lois supérieures. À ce sujet, maître Samael Aun Weor a écrit :

« Le chef suprême du rayon positif de la Lune est Yehovah יהוה. Chavajoth est exactement son antithèse, son frère rival. Yehovah יהוה dirige le rayon positif de la Lune. Chavajoth dirige le rayon négatif de la Lune. Yehovah יהוה enseigne la Magie Sexuelle blanche (sans expérimenter l’orgasme) ; Chavajoth enseigne la Magie Sexuelle noire (avec l’expérience de l’orgasme).

Deux lunes existent : la lune blanche (Naamah נעמה) et la lune noire (Lilith לילית). Dans les deux lunes, les forces universelles et féminines de la sexualité sont représentées. » – Le Mariage Parfait

N’oubliez donc pas que la lune fonctionne de deux manières : positive et négative. Ainsi, lorsque nous atteignons le niveau humanoïde, ces corps lunaires protoplasmiques commencent à involuer et reçoivent comme dernier don pour la création ou l’évolution, l’intellect. Le raisonnement intellectuel est le sommet de l’évolution des corps lunaires protoplasmiques. Bien sûr, pour ce raisonnement intellectuel, il faut un cerveau. Ainsi, le développement du cerveau dans le monde physique est précisément ce que nous avons qui est en accord avec cet intellect.

Malheureusement, avec l’intellect, nous commençons à faire la différence entre le bien et le mal, nous commençons à en apprendre davantage, puis nous commençons à commettre beaucoup d’erreurs. C’est pourquoi les grands Maîtres nous ont donné des commandements, des règles à suivre pour ne pas créer de défauts mais nous commençons à agir selon notre propre caprice. En conséquence, nous commençons à créer ou à renforcer les défauts animaux, jusqu’au moment où nous avons maintenant beaucoup d’ego, une fausse création qui existe à cause de nos erreurs.

Dans les règnes minéral et végétal, vous ne trouvez pas l’ego ; mais, dans le règne animal, on commence à voir un peu l’ego. Peut-être que chez les animaux, ce n’est que 1%, car ils obéissent toujours aux règles, aux lois de la nature, mais ici, à ce niveau où nous sommes, nous enfreignons toutes les règles. C’est précisément le chaos dans lequel nous nous trouvons en ce moment, parce que nous enfreignons constamment les règles et nous pensons que nous avons le droit de le faire et nous justifions cela puisque nous avons créé au sein de ce faux agrégat psychologique appelé ego qui est le résultat de l’involution.

Public : Que se passe-t-il lorsque l’appendice est supprimée ?

Instructeur : Malheureusement, la science médicale ne guérit pas, elle ne fait que mutiler, prélever des organes et ensuite endommager le bel organisme que nous avons. Chaque glande est là dans un but précis. Si par malchance nous sommes opérés, nous pouvons encore faire beaucoup de travail car il y a toujours la possibilité de recevoir un nouveau corps afin de conserver notre travail.

Public : Que pouvez-vous nous dire sur les transfusions sanguines ?

Instructeur : À cause des transfusions sanguines, nous attrapons le SIDA. Eh bien, c’est le karma de cette humanité. Mais si vous commencez à faire votre travail sérieusement, les maîtres vous assistent, et vous donneront un tout nouveau corps… s’ils voient que vous travaillez psychologiquement en vous-même. Mais si vous croisez les bras sans rien faire, en attendant simplement un nouveau corps, alors peut-être que vous ne recevrez rien. Avoir 108 vies, 108 opportunités est la norme, mais il y a des exceptions.

Public : Inaudible

Instructeur : Eh bien, si vous êtes dégénéré et que vous tuez des gens, que vous allez dans les centres commerciaux, que vous mutilez les gens et que vous tuez, pensez-vous que cette âme recevra un nouveau corps pour pouvoir tuer plus de gens ? Il recevra un nouveau corps, un corps physique, mais pas intellectuel.

108 vies signifient un corps physique, mais on peut naître avec un retard mental pour en accomplir 108, mais pas pour faire le mal, car de nos jours, beaucoup de gens font beaucoup de mal, tuant juste pour le plaisir de tuer. Ces âmes ne peuvent pas recevoir de nouveaux corps, ce serait injuste.

Donc, c’est la loi. C’est pourquoi cette connaissance est si librement transmise à l’heure actuelle, parce que nous en avons besoin ; expliquant en détail le chemin, pour que nous n’ayons aucune excuse, car nous sommes dans les temps de la fin.

Cette conférence a été originellement donnée en Anglais par Glorian. La conférence originale est The Three Jewels (2).

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