Écrit par : Samael Aun Weor   Catégorie : Conférences de Samael Aun Weor

Distingués frères et sœurs de notre mouvement Gnostique, je m’adresse à vous.

Le moment est venu de travailler intensément pour le grand oeuvreE du père. Souvenez-vous, mes chers frères et sœurs, que les temps de la fin sont arrivés…

Dans le monde causal, j’étudiais l’avenir qui attend notre planète Terre. Incontestablement, les perspectives sont sombres. Je veux vous dire clairement que l’ensemble de l’humanité devra traverser un grand cataclysme…

Lorsque j’observais dans le monde des causes naturelles, je pouvais voir notre planète entourée de douze géants formidables. Sans aucun doute, ceux-ci représentaient les douze constellations du zodiaque. Ils ressemblaient à douze titans noirs, physionomie éclatante de la haine qui règne actuellement sur la face de notre planète affligée…

De toute évidence, le karma zodiacal que nous avons est terrible. Et en regardant dans l’Akasha pur, je pouvais aussi comprendre qu’il y aurait un événement extraordinaire, un événement horrifiant, une catastrophe cosmique…

Des gens d’autres mondes viendront avec leurs vaisseaux pour prendre des photos de la grande tragédie. Ils voudront conserver dans leurs musées, dans leurs bibliothèques, les souvenirs vivants d’une humanité perverse punie.

Observant, dans l’espace, une musique délicieuse, une symphonie tragique me communiquait en détail tout ce qui devait arriver avant le cataclysme final. Cette musique, cette symphonie, bien que belle, contenait, en elle-même, un contenu tragique : elle m’a dit qu’avant le cataclysme et pour tous ces temps, il y aura des guerres et des rumeurs de guerres ; des maladies inconnues, jamais vues auparavant ; révolutions de sang et de liqueur, les êtres humains se soulèveront les uns contre les autres et tous contre tous ; la barbarie se multipliera partout, il y aura des crimes indicibles et le mal (dès ces instants mêmes où nous parlons), ira de mal en pis, de pis en pis…

Le jour de la grande catastrophe, mes chers frères et sœurs, tout sera vraiment dévasté…

Un monde gigantesque a navigué dans l’espace infini ; les scientifiques croient que c’est un monde fou, disloqué de tout autre système planétaire, cette planète fera une forte collision magnétique avec la nôtre d’ici l’an 2 400 environ. La vénérable grande Loge Blanche m’a dit que cette collision magnétique aura lieu exactement en l’an 2 500. Mais avant cette date, tout sera douleur, amertume ; Nous ne pouvons rien attendre de bon maintenant.

Alors que cette planète se rapproche de plus en plus, des vagues déchaînées, jamais vues auparavant, frapperont les plages ; les radiations brûleront tout ce qui a de la vie. Il y aura un instant (et tous les meilleurs prophètes le savent) où cette planète sera entre le soleil et la Terre. Donc, il y aura une nuit, oui, produite par une éclipse qui durera plusieurs jours ; nuit d’effroi et d’horreur comme personne n’en a jamais vu auparavant.

L’approche magnétique croissante de cette masse gigantesque attirera le feu liquide de l’intérieur de la Terre vers la surface, et les volcans éclateront où ils voudront. Cela s’accompagnera de terribles tremblements de terre et de grands raz-de-marée.

Les villes les plus puissantes tomberont en ruines comme des châteaux de cartes et il n’y aura pas de remède ; la radiation atomique infectera toute la planète Terre. Et enfin, l’approche la plus proche de cette masse fera exploser le dépôt d’hydrogène planétaire et, comme dans un holocauste igné, notre monde brûlera.

« Mais le jour du Seigneur viendra comme un voleur dans la nuit ; dans lequel les cieux passeront avec un grand bruit, et les éléments fondront avec une chaleur ardente, la terre aussi et les ouvrages qui s’y trouvent seront brûlés. » – 2 Pierre 3 : 10

Lorsque finalement les deux masses planétaires entreront en collision magnétiquement, il n’y aura plus personne en vie.

Nous sommes donc, mes chers frères et sœurs, au commencement de la fin. Tout ce qui a été écrit sur « l’apocalypse » de Saint Jean est pour ces temps, ne l’oubliez pas.

À une certaine occasion, ma Mère Divine Kundalini, a pris la parole et m’a dit : « Tout est déjà perdu. Le mal dans le monde est si grand qu’il a déjà atteint le ciel. Babylone, la grande, la mère de toutes les fornications et abominations de la Terre sera détruite, et de toute cette civilisation perverse de vipères il ne restera pas pierre sur pierre… »

Stupéfait, je l’ai interrogée en disant : « Alors, nous sommes face à une impasse, ma mère ? »

Elle a répondu : « Voulez-vous conclure un accord avec moi ? »

« Oui, ma mère! » J’ai répondu par l’affirmative.

Alors, elle m’a dit : « Tu ouvres l’impasse, et je les tue… »

Réfléchissez à ce que je dis, mes chers frères et sœurs. Pour la Mère Divine Kundalini (sous son troisième aspect, comme terreur de l’amour et de la loi), pour parler de cette manière, il faut qu’il y ait quelque chose de très terrible, quelque chose de terrifiant, et que le mal ait atteint le sommet des hauteurs.

Je me souviens qu’après avoir ainsi parlé avec la bien-aimée, quelques dames initiées parvenues à la deuxième naissance passèrent à côté de nous (il est clair qu’elles avaient fabriqué les corps existentiels supérieurs de l’Être et irradiaient la lumière), mais elles ne se sont même pas inclinées devant la Mère Divine, encore moins me saluer, moi qui ne vaut rien. Ma mère a dit : « Je vais devoir les examiner attentivement », ces deux fois nées de cette époque.

Je lui ai dit : « Oui, ces dames conservent encore en elles les restes de la grande prostituée dont le nombre est 666. » Elles n’ont pas complètement dissous l’ego…

Plus tard, certains maîtres près de nous se sont inclinés avec révérence. Après ils ont continué leur marche, ma mère m’a dit : « Ce sont des enfants du soleil ! »

« C’est ainsi ! » J’ai répondu.

Après ces jours, mes chers frères et sœurs, j’ai vu se confirmer les paroles de Devi Kundalini Shakti : le Pakistan a donné un million de morts à cette époque. De terribles cyclones et tremblements de terre ont produit une si grande catastrophe. À cette époque, le Pérou a fait 70 000 morts avec les tremblements de terre qui se sont produits et une eau noire et pestilentielle a jailli de l’intérieur de la Terre.

Au fil du temps, j’ai également vérifié les paroles de Devi Kundalini Shakti : les tremblements de terre se multiplient ; en ce moment, Managua, la capitale du Nicaragua, a été détruite. Il est impossible de savoir combien de morts il y a eu. La presse a dit que 5 000 et d’autres fois que 20 000. Les cadavres sont sous les décombres, et ils puent ; il a été décidé de brûler les cadavres. Le gouvernement a ordonné à tous les habitants d’évacuer la ville.

C’est ainsi, mes chers frères et sœurs…

La guerre au Vietnam s’intensifie ; les États-Unis d’Amérique ont anéanti des villages entiers du Viet Cong ; le Proche-Orient brûle : aucun règlement n’a été possible entre les Juifs et les Arabes ; partout, les difficultés grandissent et les haines se multiplient sans cesse.

Le temps passe et nous confirmons également, une par une, toutes les prophéties : celles qui ont été faites dans les temps anciens et celles que j’ai faites dans le présent. Compte tenu de toutes ces choses, mes chers frères et sœurs, nous nous sommes lancés pour former l’armée du salut du monde dans le but d’ouvrir l’impasse.

Voulez-vous en profiter ? Voulez-vous faire partie de cette armée ? Voulez-vous profiter de l’étape que nous allons ouvrir dans cette impasse ? Il n’y a pas d’autre remède : soit vous en profitez, soit vous n’en profitez pas. Si vous en profitez, tant mieux pour vous. Si vous n’en profitez pas, vous devrez traverser la grande calamité. Vous devrez la résoudre, mes chers frères et sœurs.

Beaucoup d’entre vous se diront : « Eh bien, si l’événement doit se produire en l’an 2 500, qu’importe à la science et qu’importe à nous ? » C’est ainsi que pensent ceux dont la conscience est endormie. Éveillez-vous s’il vous plaît. Éveillez-vous ! Ceux qui vivent actuellement vivront en l’an 2 500 ; et les corps que vous avez actuellement périront mais en l’an 2 500 vous aurez de nouveaux corps. Et vous serez témoins de la grande catastrophe et vous y périrez.

Vous pourriez aussi m’objecter : « nous devons mourir d’une manière ou d’une autre, et alors ? » Non, il ne s’agit pas seulement de la mort physique, mes chers frères et sœurs. Il est évident que tous ceux qui périront dans la grande calamité à venir, dans la collision magnétique des planètes à venir, entreront pour involuer dans les infra-dimensions de la nature et du cosmos.

Je veux que vous sachiez que les mondes infernaux existent sous l’épiderme de la Terre, et que de terribles processus d’involution descendante y existent aussi ; ceux qui entrent dans les mondes infernaux doivent involuer dans le temps, en passant par des états animaliques, végétaloïdes et enfin minéraloïdes.

Il n’est pas agréable du tout de vivre dans ces régions infernales. Normalement, les humanoïdes y habitent ou y vivent pendant 8 000 à 10 000 ans. Seuls les pervers, trop pervers, c’est-à-dire les Hitler, les Mussolini, les tantriques noirs, les magiciens de la main gauche, etc., etc., peuvent vivre des mahamanvantaras entiers dans les mondes infernaux avant leur désintégration définitive.

Le temps y est terriblement douloureux et extrêmement long. Dans ces régions les lois se multiplient et la vie devient effroyablement compliquée et amère. L’ennui, la douleur, la matérialité, la rudesse, la souffrance la plus effrayante, y règnent…

Réfléchissez, frères et sœurs ! Il est vrai que ceux qui y habitent finissent par connaître la seconde mort. Oui, nous ne l’ignorons pas. Il est vrai aussi que de là ils s’échappent par la seconde mort, car là l’ego se désintègre, et l’essence, c’est-à-dire l’âme (la meilleure, la plus digne, la plus décente que nous portons à l’intérieur), émerge, vient à la surface, sous la lumière du soleil, pour recommencer la journée, revenir à une nouvelle évolution, entamer une nouvelle marche qui doit commencer par le minéral, continuer par le végétal, continuer par l’animal puis, enfin, reconquérir l’état humanoïde autrefois perdu.

Mais je vous le dis, frères et sœurs, ce n’est pas du tout agréable de vivre 8 000 ou 10 000 ans en involuant dans les ténèbres extérieurs où l’on n’entend que pleurs et grincements de dents. Pensez-y, mes chers frères et sœurs !…

Il vaut mieux que nous formions l’armée du salut mondial, que nous coopérions pour le bien commun. Il me semble que tous unis nous pouvons travailler dans le grand œuvre du père. Il me semble que nous tous unis pouvons profiter de cette impasse que j’ouvre actuellement.

Ceux qui ne périront pas dans la grande tragédie, dans la grande catastrophe, seront sauvés. Je ne parle pas simplement du salut physique, mais aussi du salut spirituel (ils éviteront d’entrer dans de telles régions ténébreuses après la mort). Ceux qui ne périssent pas, ceux qui savent profiter de l’impasse que nous ouvrons maintenant, seront emmenés dans un autre monde, sur une autre planète de l’espace, avant la catastrophe finale.

Ce que je vous dis, mes chers frères et sœurs, je le sais par des informations directes de la vénérable grande Loge Blanche. Bienheureux ceux qui savent profiter de l’opportunité qui leur est offerte. Ceux-là, au bout d’un certain temps, au bout d’un laps de temps plus ou moins long, qui peut durer quelques aéons d’années, seront ramenés sur cette planète, mais sur une planète déjà transformée. Vers une planète où seuls l’amour et la sagesse existeront. A une planète qui aura complètement changé, avec une nouvelle physionomie, de nouvelles mers, de nouvelles montagnes ; c’est-à-dire qu’ils seront amenés dans la « future Jérusalem » dont nous parle « l’apocalypse » de Saint Jean…

« Et je vis un nouveau ciel et une nouvelle terre : car le premier ciel et la première terre étaient passés ; et il n’y avait plus de mer. » – Apocalypse 21 : 1

Rappelez-vous que Pierre nous a aussi parlé de :

« Néanmoins, selon sa promesse, nous recherchons de nouveaux cieux et une nouvelle terre, où habite la justice. » – 2 Pierre 3 : 13

Ceux qui seront sauvés vivront la future sixième race racine. Oui, et je veux que vous le compreniez.

Alors, mes chers frères et sœurs, choisissez le chemin.

Frères et sœurs, aidez-nous et aidez-vous vous-mêmes ! Allons parmi nous tous pour former l’armée du salut mondial ! Parcourons villes et montagnes, villes et villages, prônant le verbe de l’Ère du Verseau, diffusant aux quatre vents l’évangile de cette nouvelle ère !

Plus vous travaillez pour vos semblables, plus vous amenez de gens dans nos rangs, mieux c’est pour vous, car vous serez récompensé.

Rappelez-vous que celui qui donne reçoit, et plus on donne, plus on reçoit ; c’est la loi. Mais celui qui ne donne rien ne reçoit rien…

Sacrifiez-vous pour l’humanité, offrez votre vie sur l’autel du sacrifice suprême pour tous les êtres vivants. Ainsi, mes chers frères et sœurs, vous emprunterez le chemin, le chemin rocailleux qui vous conduira au bonheur authentique et légitime.

Jusqu’ici, mes paroles, mes chers frères et sœurs Gnostiques.

Questions et Réponses

Étudiant : Vénérable Maître Samael Aun Weor : Nous allons profiter de l’occasion de votre présence pour vous demander de clarifier la question de la viande. Au départ, dans vos premiers livres, vous disiez qu’il était totalement interdit de manger de la viande, et maintenant, dans votre dernier livre, intitulé Le Mystère de la Fleur d’Or, vous nous conseillez de manger de la viande. Alors, quel système devons-nous suivre ?

Samael Aun Weor : Avec le plus grand plaisir, je donnerai une réponse à notre frère et à tout le mouvement Gnostique. Sans aucun doute, mes chers frères et sœurs, j’ai expérimenté le système végétarien…

Le cas précis d’un pauvre chien émacié me vient à l’esprit en ce moment…

A une certaine occasion, étant totalement fanatisé par le système végétarien, j’ai aussi voulu faire de ce pauvre et malheureux animal un végétarien. Sans aucun doute, oui, il a appris sa leçon et, quand il l’a apprise, il est mort. J’ai observé en détail tous les symptômes de la maladie, tels qu’ils se sont produits. Alors, j’ai commencé mes expériences…

Plus tard, étant dans la république d’El Salvador, quand j’ai voulu monter une rue perpendiculaire assez raide, j’ai transpiré terriblement. J’étais dans un état de faiblesse affreuse. Mon corps a commencé à montrer les mêmes symptômes que le chien de mon expérience.

Ici, dans la capitale du Mexique, j’ai rencontré le directeur d’un ashram, un Allemand, un fanatique végétarien insupportable. Il a aussi montré les symptômes du chien et, petit à petit, je l’ai vu s’estomper jusqu’à ce qu’il meure.

J’ai aussi rencontré un autre monsieur nommé Lavagni, qui se consacrait au yoga et à l’astrologie, un végétarien fanatique insupportable. Il a affaibli son corps tout comme le chien ; il présentait les mêmes symptômes de ce pauvre chien décharné, qui s’asseyait toujours à la porte poussiéreuse au bord de la route, pour contempler les gens qui passaient… L’astrologue dont je vous ai parlé est mort et c’est malheureux… J’ai aussi entendu parler d’un autre monsieur qui présentait les mêmes symptômes que le chien et qui est mort…

Quelqu’un m’a appelé plus tard pour faire une guérison magnétique. C’était une personne très importante : une dame d’un certain prestige, une autre végétarienne fanatique. Alitée, elle évanouit le malheureux. Et quand je lui ai parlé du système végétarien et des symptômes du chien, et quand je lui ai dit que tous les végétariens fanatiques que j’avais rencontrés s’affaiblissaient progressivement jusqu’à leur mort, elle m’a demandé quels étaient ces symptômes, qu’elle voulait les connaître. Ma réponse a été, « Les mêmes que vous présentez en ce moment… »

La dame, peut-être, avait déjà compris sa question et s’est donc toujours séparée de ses « coreligionnaires de cuisine » (je dis cela entre guillemets, car beaucoup ont fait du végétarisme une religion de cuisine). Et elle poursuivit en me disant qu’alors, en cachette, là où ses religieuses compagnes de cuisine ne s’en apercevaient pas, la malheureuse n’arrêtait pas de manger, maintenant, son bon petit morceau de chair de poisson, etc., etc., se cachant, oui, les plats immédiatement quand l’un de ses compagnons de table s’est présenté. Elle vérifia donc, jusqu’à la nausée, que les quelques végétariens qui vivaient ici, dans la capitale du Mexique, et s’étaient maintenus pendant des années avec leur régime, n’étaient pas radicalement végétariens. En secret, sans que personne ne les voie, ils mangeaient leurs petits morceaux de viande ou de poisson, etc., etc. Réfléchissez-y, frères et sœurs,

De toute évidence, nous savons qu’il existe une loi appelée « l’éternelle loi trogoautoegocrate cosmique commune ». Cette loi vient de l’éternel Okidanock omniprésent et omnipénétrant.

Je veux que vous sachiez que la loi de l’éternelle loi trogoautoégocrate cosmique commune a deux facteurs : avaler et être avalé ; alimentation réciproque mutuelle de tous les organismes. « Le gros poisson avalera toujours le petit », et tous les organismes vivent de tous les organismes. Et peu importe à quel point nous sommes végétariens, le jour où nous mourrons, notre corps physique sera avalé par des vers, selon la loi de l’éternelle trogoautoégocrate cosmique commune.

Ainsi, le végétarisme contredit en fait cette grande loi de l’éternel trogoautoégocrate cosmique commun. Cette loi se déroule selon la loi de l’Heptaparaparshinock éternel, c’est-à-dire selon la loi du sept, et aussi selon la loi du saint Triamatzikamno, c’est-à-dire selon la loi du trois. Nous clarifions donc les lois…

Les habitants de Vénus, qui sont très avancés, bien plus avancés que les terriens, qui sont en phase avec le cosmos infini, mangent de la viande de poisson et des fruits. Ils ne sont donc pas végétariens.

Pourquoi les terriens veulent-ils maintenant corriger la loi, corriger le dessein du démiurge architecte de l’univers ?

Réfléchissez, frères et sœurs ! Je ne veux pas vous dire de devenir des carnivores fanatiques, car ce serait aller à l’autre extrême…

Étudiant : Nous allons profiter, pour que ce soit un peu plus clair, de ce que vous nous dites sur la loi d’Enoch, qu’au printemps il ne faut pas manger de viande, car elle est fortement influencée, fortement chargée des forces sexuelles d’animaux. Cependant, dans le sud, le printemps est à une autre époque. Alors, quel sera le bon moment, au printemps ou après Pâques, le Vendredi Saint ?

Samael Aun Weor : C’est avec le plus grand plaisir que je répondrai ici, à notre frère et, à travers lui, à tous nos frères et sœurs Gnostiques de l’hémisphère sud. Sans aucun doute, au printemps, la vie est vigoureuse et active, et l’impulsion animale est très puissante. Les passions animales, pour cette raison, se déchaînent et, évidemment, la viande est aussi fortement chargée du principe psychique animal inférieur.

En Amérique du Sud, les saisons sont inversées. Cela n’invalide pas nos revendications.

Au printemps de l’Amérique du Sud, des phénomènes similaires se produisent à ceux qui se produisent au printemps de l’hémisphère nord.

Cela ne veut pas dire, définitivement, que vous ne pouvez pas goûter une partie de la viande au printemps. J’ai dit, d’une manière très marquée, que ce qui se passe, c’est qu’à ce moment-là, les principes animaliers bestiaux s’intensifient. Alors, il est commode de consommer un peu moins de viande, c’est tout ; manger moins, c’est tout.

Étudiant : Seulement pour le temps du printemps ?

Samael Aun Weor : Seulement pour le printemps, bien sûr ! Cela clarifie ce que nous avons affirmé dans certains livres. Je l’ai dit !

Étudiant : Profitant de cette occasion, nous allons poser à notre vénérable maître Samael Aun Weor une question que de nombreuses sœurs Gnostiques nous ont posée. Maître, pourquoi les femmes doivent-elles prendre un corps masculin pour accéder à l’initiation Vénuste ?

Samael Aun Weor : Avec le plus grand plaisir, je vais répondre à la question. Certes, l’initiation Vénuste est l’octave supérieure de l’initiation du feu. Normalement, l’initié qui a atteint la cinquième initiation de feu peut, à partir de ce moment, entrer dans l’initiation Vénuste. Ainsi, on commencerait par la première initiation Vénuste, l’octave supérieure de la première initiation de feu ; suivrait, la deuxième initiation Vénuste, l’octave supérieure de la deuxième initiation de feu; troisième initiation Vénuste, l’octave supérieure de la troisième initiation de feu ; la quatrième initiation Vénuste, l’octave supérieure de la quatrième initiation de feu ; la cinquième initiation Vénuste, l’octave supérieure de la cinquième initiation de feu ; puis continuant avec la sixième initiation Vénuste, la septième initiation Vénuste et la huitième initiation Vénuste. En atteignant la huitième initiation Vénuste, on entre dans le temple des deux-fois nés, on atteint pour ainsi dire le sommet de la première montagne, qui est la montagne de l’initiation.

Quant aux femmes, mes chers frères et sœurs, je vais donner une explication : la femme peut aussi passer, en toute clarté, toutes les cinq initiations de feu. Quand la femme (et c’est quelque chose que je vais bien préciser), si son corps est trop usé, lourd, vieux, quand elle ne peut plus faire le grand œuvre et a besoin d’entrer dans les initiations Vénustes, alors il lui est donné un nouveau corps plus favorable à son travail, un corps d’ordre masculin. Déjà avec ce véhicule, chargé de virilité, elle peut, en effet, entrer dans le travail des initiations Vénustes ; c’est tout.

Mais si la femme est encore forte, jeune, si elle a vraiment réussi à atteindre les sommets de l’adeptat en une seule réincarnation, elle aussi peut entrer dans les initiations Vénustes avec ce corps féminin. Elle ne serait pas obligée, dans ce cas, de changer de véhicule, avec le même qu’elle possède elle pourrait entrer dans les initiations Vénustes. Ce n’est pas contradictoire avec ce que je dis. Ce qui se passe, c’est que beaucoup de dames atteignent la cinquième initiation de feu alors qu’elles sont déjà très âgées, alors qu’elles doivent déjà se désincarner. La grande loi leur donne donc un véhicule masculin pour continuer leur travail. Le cas de Blavatsky est un fait concret : elle s’est désincarnée alors qu’elle était très âgée. Ainsi, elle recevra désormais un corps masculin afin qu’elle puisse entrer dans les initiations Vénustes avec énergie.

Mais je le répète : si le corps est jeune, si le corps peut supporter les épreuves de l’initiation, s’il peut encore transmuter ses énergies créatrices, eh bien, il peut aussi réaliser les initiations Vénustes dans son existence présente et avec le corps qu’elle a ; c’est tout.

Étudiant : Vénérable Maître Samael Aun Weor, nous allons profiter, encore une fois, de notre séjour au Mexique pour nous éclairer le plus possible. Alors, on demande au maître : quelle est la véritable constitution de l’être humain ? Qu’est-ce qu’on devrait fabriquer, qu’est-ce qu’on a déjà ? Qu’est-ce que l’Intime, qu’est-ce que l’Être ?

Samael Aun Weor : Je comprends votre inquiétude, frère, et je comprends également les inquiétudes de tous nos frères et sœurs Gnostiques en Amérique du Sud.

J’estime nécessaire que soient reproduits nos ouvrages, Le Mystère de la Fleur d’Or et, tout particulièrement, notre dernier ouvrage intitulé Les Trois Montagnes. Là, nous avons clairement expliqué ce qui doit être fabriqué. Évidemment, ce n’est pas l’Être qu’il faut fabriquer, car « l’Être est l’Être et la raison d’être de l’Être est d’être l’Être lui-même ». L’Être, en lui-même, n’a ni commencement de jours ni fin de jours. Il est ce qu’il est, ce qu’il a toujours été et ce qu’il sera toujours.

Alors, qu’est-ce qu’on doit faire ? Les diverses écoles de pensée mettent l’accent sur l’idée que nous possédons tous les corps existentiels supérieurs de l’Être. Toutes les organisations pseudo-ésotériques et pseudo-occultes affirment que nous possédons un corps astral, que nous avons un corps mental individualisé et que nous possédons aussi le corps causal ou corps de la volonté consciente.

Arturo Powell a écrit des beautés sur les corps internes de l’être humain ; M. Leadbeater a étudié en détail les corps astral, mental, causal, etc. ; Helena Petronvna Blavatsky cite de tels véhicules dans ses divers ouvrages ; Rudolf Steiner, Max Heindel, Krumm Heller, etc. mentionnent également de tels véhicules suprasensibles.

Le moment est venu pour nous de juger de telles affirmations, que (avec le scalpel de la critique constructive), nous déshabillons ces valeurs pour voir ce qu’elles ont vraiment. Je conçois, je clarifie, j’affirme, que les auteurs précités (dont certains sont des chercheurs compétents) n’ont pas donné l’enseignement complet en ce sens.

M. Leadbeater, par exemple, a vu le corps astral et l’a affirmé ; il a vu le mental et l’a affirmé ; le causal et l’a affirmé. Mais M. Leadbeater a vu les corps astral, mental et causal de ceux qui les possèdent. Il n’a jamais cessé d’analyser judicieusement si tous les gens possèdent de tels corps. Dans quel travail je me demande, et je vous le demande, M. Leadbeater a-t-il abordé ce problème ? Quand a-t-il fait une discrimination, ou une différenciation complète entre ceux qui ont et ceux qui n’ont pas de tels véhicules ? Il a vu que certains avaient des véhicules, et il pensait que tous les avaient. Voilà son erreur. C’est la même erreur de tous les investigateurs occultes et ésotériques, ou pour mieux dire, des pseudo-occultistes et des pseudo-ésotéristes.

Excusez-moi, monsieur Leadbeater, mais je dis ce qui est vrai. Je ne veux pas dire que M. Leadbeater n’était pas un vrai clairvoyant. Je ne nie pas non plus qu’il était un maître. Évidemment qu’il l’est, et je connais très bien M. Leadbeater dans les mondes supérieurs : c’est un sacré maître !…

Je ne nie pas non plus les pouvoirs des différents investigateurs. Je précise juste quelque chose qui n’a pas été clarifié. J’étudie judicieusement cette question sous un nouvel angle, en détail, minutieusement. Je vois des facettes qu’ils n’ont pas vues ; et l’affirmer, le dire, n’est pas une critique destructive. Je veux plutôt compléter mes enseignements avec ces auteurs.

Tous les êtres humains, ou plutôt, je parle clairement, je corrige le mot « humains », je dis plutôt : tous les « humanoïdes » ne possèdent pas de tels véhicules, du fait même d’être « humanoïdes » ils ne peuvent pas posséder de tels véhicules.

Ces véhicules appartiennent à des humains, pas à des « humanoïdes ». Ce que je dis risque de heurter certaines oreilles méfiantes. Mais il faut parler clairement. Faites la distinction entre les humains et les « humanoïdes ». Faites la distinction entre les humains authentiques et les « homoncules rationnels ».

Pour être un humain légitime, au sens plein du terme, pour être un humain réel et vrai, il est nécessaire de posséder les corps existentiels supérieurs de l’Être. Quiconque ne possède pas de tels corps n’est pas non plus un être humain. Il sera un « humanoïde », mais pas un être humain ; il sera un « homonculus », mais pas un humain.

Élargissons ce concept et regardons l’ensemble de l’humanité. Cette humanité actuelle est constituée d’« animaux intellectuels ». C’est dur de trouver un être humain…

Rappelez-vous la fable de Diogène avec sa lanterne. Il a parcouru toutes les rues d’Athènes à la recherche d’un être humain et il n’en a pas trouvé…

Ici, mon ami Alejandro Salas dit qu’il en a trouvé un, et qu’il l’a découvert en France : c’était Marat ! Il ne fait aucun doute que Marat était un grand initié, c’est vrai. Tout ce groupe de la Révolution Française est assez intéressant…

Mais vraiment, il est difficile de trouver un humain. Personne ne naît avec un corps astral, sauf les humains. Le corps astral doit être fabriqué dans la forge des Cyclopes.

Il est bon de savoir que l’hydrogène sexuel Si-12 existe dans le semen, dans l’ens seminis, dans le sperme sacré. Apprendre à transmuter l’ens seminis en énergie créatrice est essentiel. Savoir transmuter, disons, cet hydrogène sexuel Si-12 est urgent. Lorsque nous transmutons l’entité du semen, nous fabriquons alors le corps astral. L’hydrogène sexuel Si-12 vient d’abord saturer les cellules organiques puis prend une forme concrète et définitive dans le corps astral.

Une fois que l’on a fabriqué un véhicule aussi précieux, il devient indispensable d’avoir un mental individuel. « L’humanoïde intellectuel » n’a pas de mental individuel. Il a des « mentals » et c’est différent.

En parlant ainsi, je veux que vous réfléchissiez, beaucoup ont considéré l’ego comme quelque chose de divin, de subliminal, d’ineffable. On parle du « Moi » subliminal de Miers, l’ego est placé sur tous les autels, il est divinisé, il est déifié. Mais en vérité, frères et sœurs, je vous dis que l’ego est une somme d’agrégats psychiques, un ensemble de Moi-démons qui personnifient nos désirs, nos émotions, nos passions, etc. Chacun de ces ego, chacun de ces agrégats psychiques, ont leur propre « mental ».

Donc, évidemment, nous n’avons pas un mental individuel, mais un ensemble de « mentals », et c’est différent.

Lorsque l’ego de la colère prédomine à un certain moment, l’individu pense de façon colérique. Tout ce qu’il conçoit, il le croit être le premier et le dernier mot. Quand il convoite, il fait des plans et des projets, etc., etc., et il pense qu’il est le seul. Quand il est plein de jalousie, il dit : « je suis jaloux », et il croit, il sent que c’est le dernier mot. Chaque ego qui se manifeste à un moment donné dans notre organisme, se croit le dernier, l’ultime, le définitif, mais il n’en est rien…

Chacun de ces ego a son « mental » et, pour cette raison, nous sommes tous remplis de contradictions. Dès que nous affirmons une chose, nous la nions. Dès que nous jurons allégeance devant l’autel de la Gnose, nous violons cette loyauté. Dès que nous jurons amour à une autre personne, nous nous retirons. Conclusion : où est l’individualité du mental ?

Chaque « Moi » a son propre « mental », ses propres idées, ses propres critères ; et tous ces egos, à l’intérieur du corps, se battent sans cesse les uns contre les autres et tous contre tous. Tous ces ego veulent chacun contrôler la machine organique. Où est donc l’individualité du mental ? Il n’y a pas de mental mais des « mentals ».

Nous avons besoin de fabriquer un corps mental, et cela est possible grâce à la transmutation du sperme sacré en énergie. Lorsque nous transmutons l’hydrogène sexuel Si-12, nous parvenons à fabriquer ce corps mental. Ainsi, et seulement ainsi, nous arrivons à avoir un mental individuel.

Bien plus tard, il devient nécessaire d’avoir un corps causal, un corps de la volonté consciente. Tous les êtres « humanoïdes » ne font que souffrir. Vraiment les gens sont victimes des circonstances, personne ne sait déterminer les circonstances, ils sont tous victimes des circonstances. Quand on développe le corps de la volonté consciente, on peut déterminer les circonstances, on peut créer un nouvel ordre de choses, on est le propriétaire responsable de ses actions, pas avant ; avant on est irresponsable.

Ainsi, mes chers frères et sœurs, une fois qu’on a fabriqué les corps existentiels de l’Être, alors oui, on peut se permettre d’incarner ce principe subtil appelé « âme humaine » ; et ce n’est qu’ainsi que nous devenons vraiment des êtres humains avec une âme, de vrais individus, des individus légitimes, des humains authentiques, de vrais êtres humains.

Observez le panorama de toutes choses : la seule chose que nous voyons dans le monde, ce sont des créatures irresponsables, des « animaux intellectuels », des « humanoïdes rationnels ». Il est rare de trouver un véritable humain, un humain authentique.

Dans les mondes internes, nous pouvons réaliser qui possède les corps existentiels supérieurs de l’Être et qui ne les possède pas. Donc, encore une fois, ce n’est pas l’Être qu’il faut fabriquer. L’Être est l’Être et il est éternel, il n’y a pas besoin de le fabriquer. Ce dont nous avons besoin, c’est de créer les corps existentiels supérieurs de l’Être, et c’est différent. Compris ?

Étudiant : Maître, qu’en est-il du processus d’incarnation ou de réception ou de connexion avec les trois principes supérieurs Atman, Buddhi Manas ? Qu’est-ce que l’âme humaine et qu’est-ce que l’âme divine ?

Samael Aun Weor : Je vais répondre à cette question. La trimurti Hindoustani est une réalité formidable. Atman est l’Intime, l’Être. Buddhi est l’âme spirituelle et est féminine. La première est l’âme spirituelle qui est féminine (je le répète). La seconde est l’âme humaine, qui est masculine (je le répète). Lorsque nous avons créé les corps existentiels supérieurs de l’Être, par l’accomplissement du Devoir Partkdolg de l’Être, c’est-à-dire du devoir cosmique, alors, l’âme humaine s’incarne en nous et nous devenons des humains légitimes et véritables. Eh bien, et si c’est une dame adepte qui fait le travail, évidemment elle incarne son âme humaine et devient ainsi un être humain authentique, légitime et véritable. Ce que je dis s’applique aux deux sexes, homme ou femme.

Mais Buddhi est différent ; Buddhi, l’âme spirituelle, c’est autre chose : pour incarner l’âme spirituelle, la Buddhi, il faut avoir passé les initiations Vénustes. On ne peut incarner la Buddhi qu’après avoir fait le travail dans la sphère lunaire. C’est un travail d’ordre supérieur qui est au-delà des initiations, qui correspond à la deuxième montagne. (Nous savons déjà qu’il y a trois montagnes, entre parenthèses ; la première est la montagne des initiations, la seconde est la montagne de la résurrection et la troisième est la montagne de l’ascension.

Pour pouvoir fabriquer, dis-je, pour pouvoir incarner (je précise) l’âme spirituelle, la Buddhi, il faut avoir travaillé dans la sphère lunaire. Seuls ceux qui ont accompli le travail complet de la sphère lunaire (travail qui correspond à la deuxième montagne, c’est-à-dire la montagne de la résurrection), peuvent incarner leur âme spirituelle.

A l’intérieur de l’âme spirituelle, qui est comme un vase d’albâtre, blanc et transparent ; à l’intérieur brûle un feu doré constant, la flamme de Prajñâ qui rayonne d’Âtman, c’est-à-dire la flamme de l’Être, de l’Intime.

Quiconque incarne sa Buddhi, l’âme spirituelle incarne évidemment l’Intime ; parce qu’il est à l’intérieur de l’âme spirituelle, de la même manière qu’une flamme très pure est à l’intérieur du réceptacle qui la contient, à l’intérieur d’une lampe, disons. Pour cette raison, dans la « Voix du Silence », Madame Blavatsky parle clairement en disant :

« La porte Dhyâna est comme un vase d’albâtre, blanc et transparent ; à l’intérieur brûle un feu doré constant, la flamme de Prajñâ qui rayonne d’Âtman. » – La Voix du Silence

Cette flamme est Âtman, l’Intime. Par conséquent, lorsqu’on incarne la Buddhi (au sein de laquelle se trouve la flamme de Prajñâ, l’Intime), on devient un ange, on s’élève à l’état angélique, même si on a un corps humain. Peu importe le corps que vous avez, que ce soit un corps masculin ou féminin.

Les femmes ont les mêmes droits que les hommes ! Et cela doit être signalé, précisé. Et, si nous pouvons nous élever à l’état angélique, la femme a les mêmes droits, elle peut aussi le faire dans cette existence même, ici et maintenant.

Ainsi, incarner la Buddhi est assez intéressant. Mais il faut commencer par créer les corps existentiels supérieurs de l’Être, pour incarner d’abord l’âme humaine et, plus tard, la Buddhi (l’âme spirituelle). Alors, nous devenons des anges ; et il est indispensable que nous devenions des anges.

« J’ai travaillé intensément dans la super-obscurité du silence et l’auguste secret des sages…

J’ai dû attendre un temps, des temps et la moitié d’un temps… Cependant, je soupirais après Guenièvre, la reine des chevaliers « Djinns » (mon Âme Spirituelle).

Une certaine nuit, les étoiles brillantes dans l’espace infini apparurent comme si elles avaient un nouvel aspect…

J’étais en extase, loin de toute clameur mondaine ; la porte de ma chambre était hermétiquement fermée…

Certes, c’était le moment où je célébrais le mariage avec ma bien-aimée (Buddhi). Elle a pénétré en moi et je me suis perdu en elle…

Le Soleil de Minuit (le Logos Solaire) a brillé intensément dans ces instants bénis.

Je me suis senti transformé de manière intégrale. Le fameux chakra Sahasrara, le lotus aux mille pétales, la couronne des saints, brillait victorieusement dans ma glande pinéale, et je suis entré dans cet état connu parmi la race Hindoue sous le nom de « Paramananda » (un terme Sanskrit désignant le bonheur spirituel suprême). » – Extraits de Guenièvre Les Trois Montagnes

Et le dragon s’irrita contre la femme, et alla faire la guerre au reste de sa postérité, qui garde les commandements de Dieu et a le témoignage de Jésus-Christ. » – Apocalypse 12 : 17

C’est tout…

Paix Invérentielle

Élaboration d’un Instructeur sur la Conférence

Citations des écritures de la Kabbale commentées par un instructeur Gnostique, en tant qu’élaboration de la conférence de Samael Aun Weor.

Les générations de Noah signifient la race humaine actuelle dans le Satya Yuga ou l’âge d’or, la progéniture et l’œuvre du Saint (Binah בינה, le Saint-Esprit), parce que :

« Et Noah נח marchait avec Ath HaElah-Yam את־האלה-ים (la déesse de la mer Ath, la Schekinah). Et Noah (à travers la chasteté scientifique) engendra (dans Ath HaShamayim את השמים Ve (dans le Vav ו de) Ath HaAretz ואת הארץ) trois fils, Ath-Shem (corps astral solaire), Ath-Ham (corps mental solaire), et (dans le Vav ו de Tiphereth) Ath-Japheth (corps causal solaire) את־שם את־חם ואת־יפת. » – Genèse 6:9,10

Le Zohar déclare :

Rabbi Siméon dit : « Quand le Saint s’habille, c’est dans les ornements (solaires) des mondes céleste et terrestre, du premier avec cette lumière céleste en haut qu’aucun être humain ne peut approcher ; du second avec les âmes des justes qui, plus elles se rapprochent de cette lumière divine, plus elles deviennent réceptives et remplies d’elle, de sorte qu’à travers elles, elle s’étend dans toutes les directions et le monde comme une citerne ou un océan (Yam ים) en est rempli. Il est écrit:

« Bois de l’eau de ta propre citerne (meborecha מבורך), et de l’eau courante de ton propre puits (beareche בארך) » – Proverbes 5 : 15

Pourquoi l’Écriture utilise-t-elle ces deux termes citerne et puits, commençant par bor (בור citerne) et se terminant par bear (באר puits ou source). Parce que l’un contient ; l’autre produit ou envoie de l’eau, et l’Écriture veut nous apprendre que la citerne finira par devenir un puits. Comme un indigent et un pauvre, les âmes des justes ou des justes ne possèdent rien en elles-mêmes et sont comme une citerne dans laquelle on verse de l’eau.

Toute âme mondaine et injuste porte sur elle la marque de la lettre D (daleth signifiant pauvre, dal דַל) et est comme une citerne sans eau.

Mais les âmes des justes (comme le roi David) deviennent des sources ou des puits projetant de l’eau dans toutes les directions.

Qui (Mi מי) opère et produit ce changement ? C’est (Qui, Mi מי, c’est-à-dire Yam ים à l’envers), la source et l’origine de la lumière céleste, qui la fait pénétrer maintenant dans les âmes humaines sur le plan terrestre, comme nous l’avons déjà dit. (C’est pourquoi) une autre signification de ces mots est qu’ils s’appliquent au roi David, à qui l’Écriture fait dire :

« Et David aspirait et dit : Qui (Mi מי) me donnera à boire de l’eau de la citerne de Bethléem. Qui (Asher אשר) est près de la porte ! » 2 Samuel 23:15

Le terme « eau courante (שתה־מים) de ton propre puits (bear באר) » désigne également Abraham (Chesed, pilier droit). « De » (‘bethokh בתוך’ qui signifie aussi « du milieu » ou « du centre») à Jacob (qui est dans Tiphereth, le pilier central). Et « ton propre puits » מתוך בארך, à Isaac (Geburah, le pilier de gauche) qui est appelé une « source d’eau vive ou jaillissante (dans Malkuth) » comme il est écrit :

« Et le serviteur (Obd עבד) d’Isaac sonna dans la vallée et y trouva un puits de source d’eau vive באר מים חיים. » – Genèse 26 : 19

Par conséquent:

« Et les eaux courantes sortant (et remontant, à travers la transmutation) de ton propre puits » sont liées à :

« Et Noah engendra trois fils, Ath-Shem (corps astral solaire), Ath-Ham (corps mental solaire) et (dans le Vav ו de Tiphereth) Ath-Japheth (corps causal solaire) את־שם את־חם ואת־ יפת.. » – Genèse 6:10

Si vous demandez pourquoi :

C’est parce que, « Et Noah נח marcha avec Ath HaElah-Yam את־האלה-ים (la déesse de la mer Ath, la Schekinah) » – Genèse 6: 9

Dans ces mêmes versets est contenu le saint et profond mystère des patriarches, parmi lesquels le roi David est compris. Pourquoi ?

Signification alchimique de l’ascension de la lettre Vav ו à partir de Yesod יסוד au Iod יוד (les deux lettres Daleth ד du nom David דויד), Le Iod י est la couronne de David דויד, Iod יוד correspondant à Kether, Chokmah et Binah . . . .

Le premier Daleth ד correspond à Binah, le Père et la Mère, le Iod י et Hei ה de יהוה unis sexuellement dans Daath דעת. Et le Daleth à la fin du nom David דויד correspond au mari et à la femme, le Vav ו et le Hei ה de יהוה unis sexuellement dans Yesod יסוד.

Le Vav ו de David דויד correspond à Yesod et Tiphereth et Daath, unis au Fils, Ben בן, le Beth ב de Ben בן correspond à Beresheet בראשית Chokmah חכמה sagesse, le Fils d’Adam Kadmon. Et le Nun final de Ben בן, correspond au Messiah, Ieshua, Jésus, le fils de Nun יהושע בן־נון, INRI, le feu, le Christ, le fils d’Adam et Eve, le fils de David דויד.

« Ne craignez pas les choses que vous souffrirez : voici, le diable jettera certains d’entre vous en prison (de douleur), afin que vous puissiez être jugés ; et vous aurez des tribulations de dix jours : (c’est-à-dire que vous aurez des tribulations aussi longtemps que vous êtes soumis à la roue de la réincarnation et du karma) soyez fidèles jusqu’à la mort, et je vous donnerai une couronne de vie. » —Apocalypse 2 : 10

« Quiconque reçoit la couronne de vie est libre de la roue de la réincarnation et du karma.

La couronne de vie est triple. Elle a trois aspects : l’Ancien des Jours, le Fils bien-aimé, et troisièmement, le très sage Saint-Esprit.

La couronne de vie est l’homme-soleil, le roi-soleil, qui était très vénéré par l’empereur Julien.

La couronne de vie est notre incessant souffle éternel profondément inconnu de lui-même. C’est le rayon particulier de chaque être humain. C’est le Christ.

La couronne de vie est Kether, Chokmah et Binah. » – Samael Aun Weor

Le Zohar poursuit :

« Le désir d’union entre les sexes opposés n’est excité que lorsque la femme devient réceptive et remplie d’Ath את, l’esprit ou principe féminin (le Iod י gauche d’Aleph א) qui, devenant conjoint au principe masculin (le Iod supérieur י) d’en haut (d’Aleph א), provoque la fertilité (dans le Vav ו ou la colonne vertébrale d’Aleph א). Il en est de même pour les (Neshamoth Chayim נשמת חיים) âmes vivantes ou congrégation d’Israël (ou les purs et initiés dans la doctrine secrète de la chasteté scientifique). Elle éprouve un désir après le Saint (Binah בינה) seulement lorsqu’elle est rempli de l’esprit de justice et ensuite est rendu fructueux dans la bonté et alors l’union avec le Divin est une source de la plus grande joie et délice, cela a été ainsi exprimé par un écrivain.

‘Le Saint vient alors et se délecte de la compagnie des âmes des humains justes rendus parfaits.’

Observez que les enfants du jardin d’Éden, ou la race des êtres Édéniques, ne sont devenus humains qu’après que Noah נח, le Juste, soit entré dans l’arche (de l’alliance), ou en d’autres termes s’est incorporé. Jusqu’à ce que cela se produise, ils étaient invisibles et immanifestés en tant qu’humanité qui n’aurait jamais pu exister comme actuellement sur le plan terrestre à moins que Noah ne soit entré dans l’arche (de l’alliance) et ait donné naissance et origine à une progéniture, soumise aux lois de (la révolution de la conscience) et le développement qui s’engendrent à la fois dans les mondes céleste et terrestre par lesquels il a été rendu compétent pour se multiplier et remplir la Terre.

Noah נח représente l’arche de l’alliance dans Malkuth (ou les physicalités masculines et féminines), car le nom Noah נח est écrit avec une lettre נ Nun 50 et une lettre ח Chet 8 = 13. Ainsi, Noah נח a les 13 attributs de la miséricorde, les Neshamoth Chayim נשמת חיים, âmes vivantes de Ath HaElah-Yam את־האלה-ים sur Malkuth et de Jehovah Elohim יהוה אלהים, Binah בינה en potentialité. De même, 13 se rapporte à Jésus-Christ et ses 12 apôtres, qui naîtront en nous de Marie מרים, Ath HaElah-Yam את־האלה-ים, Stella Maris, la vierge de la mer) dans Mitzrayim מצרים Égypte, Malkuth, notre physicalité. C’est ainsi que nous, les Gnostiques, le voyons kabbalistiquement et alchimiquement.

Observez l’orthographe du nom Noah נח Nun נון et Chet חת. Nun נון est : Nun-Vav-Nun final. Le Nun commun נ est courbé et le Nun final ן est droit. Pourquoi ? Parce que le Nun courbé נ représente à la fois le semen masculin et féminin ou le mercure brut, et le Nun droit ן représente à la fois les âmes masculines et féminines du mercure, qui s’élèvent le long du Vav ו. La forme de la lettre Chet ח est formée par un Vav ו et un Zain ז, la colonne vertébrale des deux, mari et femme respectivement ; l’orthographe de la lettre Cheth חת a aussi un Tav ת ou croix sexuelle. Par conséquent, les générations de נח Noah sont ‘Eleh’ אֵלֶּה (ceux-ci), les générations de ‘Elah’ אֵלֶּה (déesse), les générations de Cheth חת, mari et femme effectuant la croix sexuelle.

La forme de la lettre Tav ת est formée par la lettre Resh ר à sa droite et la lettre Nun נ à sa gauche. Tav s’épelle תו ; cela indique alchimiquement que nous, dans l’acte sexuel, devons transmuter les deux Nun נון (poisson, semen mâle et femelle) en énergie et le faire monter le long du Vav ו, notre colonne vertébrale, vers notre tête, Rosh ר, de Kether, dans la glande pinéale gouvernée par Neptune, Binah בינה, El-Ha-Yam אל-הים (le Dieu de la mer de Yesod).

Continuons avec le Zohar :

« Telle est la signification occulte des mots oraculaires ‘Bois les eaux de ta citerne et les eaux courantes ou les ruisseaux de ton puits.’ »

« Et la Terre était aussi corrompue devant HaElohim האלהים. » – Genèse 6 : 11

Rabbi Jehudah dit: « L’Écriture déclare que la Terre était également corrompue et ajoute ensuite, ‘devant HaElohim האלהים.’ C’était afin de montrer que les hommes (mieux dit, les humanoïdes) de cette génération alors existant sur la Terre vivaient en violation à la fois de la loi naturelle et morale, – que leur méchanceté était flagrante et ouverte devant les humains et les Elohim האלהים. »

Rabbi Joseph dit: « Je pense autrement. Les mots (devant HaElohim לפני האלהים) signifient (mon visage פני הא), que les gens ont commis des crimes secrètement et connus seulement (le Hei הא de יהוה אלהים, le את, la Schekinah) la (déesse de la mer) Elah-Yam האלה-ים, et que ce n’est que par leur énormité et leur haine qu’ils se sont manifestés à tout le monde. Les mots « ce sont les générations de Noah » s’appliquent également à l’humanité qui, avant l’avènement de Noah, vivait dans la méchanceté ouverte et à sa postérité dont le péché (sexuel) était en secret. »

C’est pourquoi il est écrit :

« Voyez (Hei הא), voici du semen (zera זרע) pour vous, et vous sèmerez Ath את, HaAdamah האדמה, le sol (c’est-à-dire, semez Ath-le sol את־האדמה, ou Mitzrayimah מצרימה, Égypte, le dernier Hei הא de יהוה, votre physicalité). » – Genèse 47 : 23

Le Zohar poursuit :

Rabbi Abba dit : « Depuis la transgression par Adam des commandements divins, tous ses descendants ont été appelés fils ou enfants d’Adam, non comme un terme d’honneur, mais comme une caractéristique de la naissance d’un ancêtre qui, par sa désobéissance, avait brisé la loi divine.

Lorsque Noah est apparu dans le monde (dans Satya yuga), les gens ont été appelés les fils de Noah, une distinction honorable, comme étant la progéniture de celui qui a préservé la race humaine de l’extinction et non d’Adam dont le péché l’a fait disparaître en apportant la mort dans le monde à chaque âme. »

Rabbi José dit : en objection à cette déclaration : « Si cela était réellement vrai, pourquoi est-il écrit :

« Et יהוה descendit pour voir la ville et la tour, que les enfants de HaAdam avaient construites. » Genèse 11 : 5

Les fils ou enfants de HaAdam et non de Noah et qui vivaient après le temps du déluge.

Rabbi Abba dit : en réponse : « Par sa désobéissance, il aurait été préférable pour Adam qu’il n’ait pas été créé, car tous ceux qui, comme lui, deviennent des transgresseurs de la loi sont dénommés « fils d’Adam », non parce qu’ils tirent leur naissance de lui, mais comme transgresseurs comme lui, et tels furent les bâtisseurs de la tour de Babel.

Maintenant, pouvons-nous comprendre pourquoi l’Écriture utilise le mot Eleh (ce sont les générations) pour distinguer la différence existant entre les races Adamique et Noachique de l’humanité. Les générations de Noah n’étaient plus appelées les fils d’Adam, mais les fils de Noah qui les ont introduits et sortis de l’arche afin de repeupler le monde.

Adam n’a pas enfanté d’enfants ou de fils du jardin d’Éden, car s’il l’avait fait, ils auraient été immortels ou extra-humains. Alors aussi la lumière de la lune n’aurait pas diminué, et l’œuvre de la création aurait duré éternellement. Même les anges les plus élevés eux-mêmes n’auraient pas égalé Adam dans la dotation de la lumière céleste, de la beauté de la forme et de la sagesse comme il est écrit :

« Et Elohim créa Ath HaAdam את־האדם à son image, à l’image d’Elohim il le créa ; homme et femme, il les créa. » – Genèse 1 : 27

Ainsi, les enfants d’Adam, engendrés après son expulsion du jardin d’Éden, étaient à la fois mortels et indignes.

Rabbi Hezekiah dit : « Comment était-il possible pour Adam d’engendrer une progéniture (à travers l’orgasme animal) dans le jardin d’Éden, car il est certain que le tentateur n’aurait eu aucun pouvoir sur lui et qu’il serait resté sans enfant dans le monde (d’Assiah), de même qu’Israël s’il n’avait pas péché en adorant le veau d’or, serait resté unique en tant que race et n’aurait pas donné naissance à une autre génération (à travers l’orgasme animal) ? »

Rabbi Abba répondit : « Mon affirmation est la suivante. Si Adam n’avait pas (atteint l’orgasme, c’est-à-dire) péché, il n’aurait pas engendré et porté une progéniture sous l’influence du tentateur (désir sexuel animal), mais du Saint-Esprit. (Chaiah חיה Binah בינה, le Soi Supérieur ou la Monade supérieure.) Après la chute, sa progéniture engendrée sous l’influence des propensions sexuelles animales, était mortelle, n’étant pas pure et sans mélange dans son origine et sa constitution mais composée de l’animal et du spirituel. Si toutefois il n’était pas tombé (à travers l’orgasme animal) et restait dans le jardin d’Éden, il aurait engendré une progéniture entièrement spirituelle et qui dans leur constitution aurait été aussi pure et immortelle que les anges et autres êtres célestes. Les enfants nés après son expulsion de l’Éden n’ont connu qu’une existence temporaire et éphémère jusqu’à l’apparition de Noah qui, après être entré dans l’arche (de l’alliance) et par sa vie juste s’unissant à son Soi Supérieur (Binah בינה), était alors capable de produire une progéniture qui finit par se répandre dans toutes les parties de la Terre, laissant derrière elle une postérité qui survivra jusqu’à la fin du monde.

Rabbi Hiya dit : Il est écrit :

« Et Elohim vit leurs œuvres, qu’ils se détournèrent de leur mauvaise voie » – Jonas 3: 10

Observez, lorsque les gens deviennent droits et obéissent aux préceptes de la bonne loi, la Terre elle-même change et acquiert une vertu à administrer au plaisir et au bonheur de l’humanité, comme alors la Schekinah ou ce divin (principe divin féminin) appelé la vie qui opère dans toutes les créatures organiques et inorganiques et par son pouvoir attractif lie la sphère mondaine et céleste, l’harmonie entre laquelle résulte en paix et joie.

Au contraire, lorsque le péché et les actes répréhensibles prévalent, cette vie et cette influence divines sont bannies de la Terre, qui devient elle-même infectée, désolée et infertile par l’influence maléfique qui l’envahit alors.

Mais si Israël pèche (c’est-à-dire si l’âme humaine, Tiphereth, atteint l’orgasme animal dans Yesod), ce qu’Elohim אלהים interdit, l’Écriture déclare qu’alors Elohim אלהים (mieux dit, Ath HaElah-Yam את־האלה-ים, la Schekinah) quitte la Terre et monte au ciel :

« Lui seul est mon rocher et mon salut : il est ma défense ; Je ne serai pas ému. » – Psaume 62 : 6

Et en donne aussi la raison :

« Ils ont préparé un filet pour mes pas ; mon âme est courbée : ils ont creusé une fosse devant moi, au milieu de laquelle ils sont eux-mêmes tombés. Sélah. » – Psaume 57 : 6

Quels mots expriment un degré de méchanceté semblable à celui des antédiluviens.

S’il est demandé, s’appliquent-ils également à Jérusalem ? La Schekinah l’abandonne-t-elle lorsque les gens sont corrompus ? car on nous a enseigné qu’il est sous le soin et la protection spéciaux du Saint qui l’a choisi pour son habitation, de sorte qu’aucun autre esprit ou chef céleste ne règne et ne régit sur la terre (Malkuth ou physicalités) d’Israël.

Malgré cela, nous affirmons qu’il arrive qu’un mauvais esprit ou une mauvaise influence la visite et corrompe ses habitants. Comment savons-nous cela ? Du Roi David dont il est écrit :

« Et David (דויד) leva ses yeux Ath (את־עיניו) et vit l’ange (Chesed חסד) de יהוה (Binah בינה) debout (dans Daath דעת) entre (les piliers gauche et droit de) la Terre (בין הארץ) et entre (les piliers gauche et droit de) les cieux (ובין השמים), ayant une épée tirée (de Geburah גבורה) dans sa main (ידו) tendue sur Jérusalem (c’est-à-dire, tendue dans le pilier central depuis Yesod יסוד au Iod יוד dans la glande pinéale). » – 1ère Chroniques 21 : 16

Parce que la terre (Malkuth ou physicalités) d’Israël a été corrompue par le mal (à cause de l’orgasme). » – Zohar

Cette conférence a été originellement publiée en Anglais par Glorian. La conférence originale est The End Times Have Arrived.

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